( Petit texte RP qui menera a une longue suite. )
Les ressemblances du passé.
« Tout n’est qu’un cycle. Dans le passé je suis mort à cause d’une femme, donc serais-je obligé de remourir pour une autre ? Est-ce donc ça l’amour?
Alors je choisis mon destin, de rester avec elle, même si le malheur me guette. »
Jack, chevalier de la mort, retrouve un sentiment perdu depuis le coup et la disparition de sa tendre Enador… Pourra t’il a nouveau supporter ça ?
Tard le soir, dans Hurlevent, au parc, sur le puit de lune, Jack regarda l’eau, pensif, se demandant ce que lui réserverait l’avenir, puis il se mit à sourire avant de penser à « elle », celle le faisait rêver à nouveau depuis 6 mois maintenant, celle lui ayant fait oublier la souffrance d’Enador.
Puis il lâcha un soupir, murmurant : « Alyissia… »
Puis le chevalier ferma les yeux, ce laissant bercer par le nom quelques instants, avant de s’amuser à la comparer avec Enador. Que n’ont-elles pas en commun ? dit il en souriant, puis il se mit la main sur la tête avant de lâcher sèchement, « l’intelligence », il n’y a pas photo, Alyissia est bien plus intelligente qu’Enador, elle l’aura prouver dans toute ces missions. Puis il se remit à réfléchir, puis il ne trouva pas d’autre point. Il se mit à penser cette fois aux points communs… Leur gentillesse sans limite sans aucun doute, puis peut être leur naïveté ? Car comment croire à un monde sans mensonge ni trahison, c’est utopique…
Les deux caches la vérité derrière de grands sourires, leurs cœurs sont si difficiles à attraper, car ils sont proches mais si loin en même temps, ce qui fait d’eux des désirés… Au final, Jack soupira baissant la tête, regardant son reflet.
« Comment faire ? »
Le simple fait de penser au cycle vicieux qu’il avait vécu auprès d’Enador lui fit peur, maintenant il fallait chercher des solutions pour que cela n’arrive plus, laisser le passé là où il était, ne plus recommencer les même erreur qu’à l’époque. Cette fois sa fille Élesta ne sera pas là pour l’aider à se relever.
Peut-être qu’au final il se faisait trop d’idée ? Sans doute, car trop de blessures lui sont restés, le rendant plus méfiant.
Dans un murmure, il fit une promesse, puis à voix haute il fit une nouvelle promesse, déterminer à les tenir, même si cela est au-dessus de ses capacités.
Il donna alors un coup de poing sur son reflet, avant de regarder vers le ciel, les étoiles qui représentaient pour lui les images des personnes qu’il aime.
Puis soudainement, une main ce posa sur l’épaule du chevalier, une elfe.
« Il faut rentrer chez nous père, il ce fait vraiment tard … »
Jack fixa droit dans les yeux de sa fille, puis lui répondit d’y aller, qu’il la rejoindrait par la suite, qu’il voulait tout simplement terminer de rêver. La jeune fille lui fit un signe de la tête et prit le chemin en direction du manoir.
Jack dit une dernière phrase.
« Si je dois verser le sang pour elle, cela sera sans hésitation»
Il se retourna en murmurant.
« Après tout je n’ai plus rien à perdre. »
Puis il rejoignit sa fille pour prendre du repos, car maintenant, il est sûr de ce qu’il doit faire, il n’a rien à craindre.
Les ressemblances du passé.
« Tout n’est qu’un cycle. Dans le passé je suis mort à cause d’une femme, donc serais-je obligé de remourir pour une autre ? Est-ce donc ça l’amour?
Alors je choisis mon destin, de rester avec elle, même si le malheur me guette. »
Jack, chevalier de la mort, retrouve un sentiment perdu depuis le coup et la disparition de sa tendre Enador… Pourra t’il a nouveau supporter ça ?
Tard le soir, dans Hurlevent, au parc, sur le puit de lune, Jack regarda l’eau, pensif, se demandant ce que lui réserverait l’avenir, puis il se mit à sourire avant de penser à « elle », celle le faisait rêver à nouveau depuis 6 mois maintenant, celle lui ayant fait oublier la souffrance d’Enador.
Puis il lâcha un soupir, murmurant : « Alyissia… »
Puis le chevalier ferma les yeux, ce laissant bercer par le nom quelques instants, avant de s’amuser à la comparer avec Enador. Que n’ont-elles pas en commun ? dit il en souriant, puis il se mit la main sur la tête avant de lâcher sèchement, « l’intelligence », il n’y a pas photo, Alyissia est bien plus intelligente qu’Enador, elle l’aura prouver dans toute ces missions. Puis il se remit à réfléchir, puis il ne trouva pas d’autre point. Il se mit à penser cette fois aux points communs… Leur gentillesse sans limite sans aucun doute, puis peut être leur naïveté ? Car comment croire à un monde sans mensonge ni trahison, c’est utopique…
Les deux caches la vérité derrière de grands sourires, leurs cœurs sont si difficiles à attraper, car ils sont proches mais si loin en même temps, ce qui fait d’eux des désirés… Au final, Jack soupira baissant la tête, regardant son reflet.
« Comment faire ? »
Le simple fait de penser au cycle vicieux qu’il avait vécu auprès d’Enador lui fit peur, maintenant il fallait chercher des solutions pour que cela n’arrive plus, laisser le passé là où il était, ne plus recommencer les même erreur qu’à l’époque. Cette fois sa fille Élesta ne sera pas là pour l’aider à se relever.
Peut-être qu’au final il se faisait trop d’idée ? Sans doute, car trop de blessures lui sont restés, le rendant plus méfiant.
Dans un murmure, il fit une promesse, puis à voix haute il fit une nouvelle promesse, déterminer à les tenir, même si cela est au-dessus de ses capacités.
Il donna alors un coup de poing sur son reflet, avant de regarder vers le ciel, les étoiles qui représentaient pour lui les images des personnes qu’il aime.
Puis soudainement, une main ce posa sur l’épaule du chevalier, une elfe.
« Il faut rentrer chez nous père, il ce fait vraiment tard … »
Jack fixa droit dans les yeux de sa fille, puis lui répondit d’y aller, qu’il la rejoindrait par la suite, qu’il voulait tout simplement terminer de rêver. La jeune fille lui fit un signe de la tête et prit le chemin en direction du manoir.
Jack dit une dernière phrase.
« Si je dois verser le sang pour elle, cela sera sans hésitation»
Il se retourna en murmurant.
« Après tout je n’ai plus rien à perdre. »
Puis il rejoignit sa fille pour prendre du repos, car maintenant, il est sûr de ce qu’il doit faire, il n’a rien à craindre.
