C'est de la faute de Ravelle, si si !
Je veux dire, c'est lui qui m'a donné l'idée d'enfoncer deux ou trois autres portes ouvertes en matière de théorie du JdR.
Parmi celles-ci, il en est une qui découle assez logiquement du dernier sujet qui traitait des revendications de créneaux de jeu, notamment par l'attribution de pouvoir sur des lieux déterminés.
D'aucuns ont pu sembler penser que :
Et d'expliquer de la sorte que les rôlistes génèrent donc du conflit entre eux pour savoir, grosso modo, "qui commandera à l'autre et où ?"
Pour reprendre la séduisante imagerie de la cour de récréation, cela reviendrait à envisager des enfants qui tiendraient conférence sur la question de savoir :
- qui commande dans tel coin de la cour, là où il y a les pneus qui peuvent être utilisés comme cerceaux, en y mettant du sable en prime dedans pour le côté spectaculaire
- celui qui récupérerait le pouvoir sur cette zone pourrait se réserver les meilleurs pneus (voire décider qui n'en aura pas, s'il n'y en a pas assez) et dire qui peut jouer avec lui et selon quel schéma hiérarchique...
Important donc de contrôler un créneau de jeu (géographique, thématique et/ou de pouvoir, une fois de plus, pour faire écho aux derniers débats).
Naturellement, les choses me paraissent plus complexes que cette vision très "primaire", sans jeux de mots.
En effet, on ne peut nier que cette vision des conflits entre rôlistes n'est pas, non pas séduisante, oh non, bien au contraire, mais suffisamment relativement juste et correspondant à des échos de la réalité pour ne pas nous paraître convaincante.
Mais même les réalités les plus simples prennent des atours plus complexes lorsque nous envisageons certaines situations crées et/ou vécues par des adultes ou des jeunes gens, joueurs rôlistes de surcroît.
Ainsi, nous étudierons les vrais fausses bonnes raisons qui fondent les conflits ente rôlistes, et leur nature profonde, soi-disant détachable selon qu'elle serait "JdR" ou "HJdR".
Cela nécessitera de voir que le noeud du problème est d'ordre hiérarchique, même lors de conflits de groupes de rôlistes, en vue de l'accès à des parts plus ou moins intéressantes d'un même créneau de jeu.
Mais bien souvent, interviendra une notion redoutable pour les rôlistes, à savoir le "bien jouer en JdR", qui oppose souvent deux visions différentes du JdR tel qu'il devrait être joué sur tel ou tel créneau de jeu.
Notion redoutable car elle sert à l'occasion soit de cause du conflit, lorsque la dfférence de conception est insupportable par les parties en présence, ou de prétexte, selon que la dimension purement hiérarchique prendra ou non la pas sur la seule façon de concevoir le rôle.
Je veux dire, c'est lui qui m'a donné l'idée d'enfoncer deux ou trois autres portes ouvertes en matière de théorie du JdR.
Parmi celles-ci, il en est une qui découle assez logiquement du dernier sujet qui traitait des revendications de créneaux de jeu, notamment par l'attribution de pouvoir sur des lieux déterminés.
D'aucuns ont pu sembler penser que :
les rôlistes sont avant tout de gros possessifs égoïstes qui semblent généralement incapables d'interpréter un rôle sans s'attribuer une zone, une importance, une légitimité artificiellement inscrite dans le Lore, sans contestation ou partage possible.
Et d'expliquer de la sorte que les rôlistes génèrent donc du conflit entre eux pour savoir, grosso modo, "qui commandera à l'autre et où ?"
Pour reprendre la séduisante imagerie de la cour de récréation, cela reviendrait à envisager des enfants qui tiendraient conférence sur la question de savoir :
- qui commande dans tel coin de la cour, là où il y a les pneus qui peuvent être utilisés comme cerceaux, en y mettant du sable en prime dedans pour le côté spectaculaire
- celui qui récupérerait le pouvoir sur cette zone pourrait se réserver les meilleurs pneus (voire décider qui n'en aura pas, s'il n'y en a pas assez) et dire qui peut jouer avec lui et selon quel schéma hiérarchique...
Important donc de contrôler un créneau de jeu (géographique, thématique et/ou de pouvoir, une fois de plus, pour faire écho aux derniers débats).
Naturellement, les choses me paraissent plus complexes que cette vision très "primaire", sans jeux de mots.
En effet, on ne peut nier que cette vision des conflits entre rôlistes n'est pas, non pas séduisante, oh non, bien au contraire, mais suffisamment relativement juste et correspondant à des échos de la réalité pour ne pas nous paraître convaincante.
Mais même les réalités les plus simples prennent des atours plus complexes lorsque nous envisageons certaines situations crées et/ou vécues par des adultes ou des jeunes gens, joueurs rôlistes de surcroît.
Ainsi, nous étudierons les vrais fausses bonnes raisons qui fondent les conflits ente rôlistes, et leur nature profonde, soi-disant détachable selon qu'elle serait "JdR" ou "HJdR".
Cela nécessitera de voir que le noeud du problème est d'ordre hiérarchique, même lors de conflits de groupes de rôlistes, en vue de l'accès à des parts plus ou moins intéressantes d'un même créneau de jeu.
Mais bien souvent, interviendra une notion redoutable pour les rôlistes, à savoir le "bien jouer en JdR", qui oppose souvent deux visions différentes du JdR tel qu'il devrait être joué sur tel ou tel créneau de jeu.
Notion redoutable car elle sert à l'occasion soit de cause du conflit, lorsque la dfférence de conception est insupportable par les parties en présence, ou de prétexte, selon que la dimension purement hiérarchique prendra ou non la pas sur la seule façon de concevoir le rôle.
Dernière édition par Rälkezad de Glace-Sang le Lun 11 Juil 2011 - 11:24, édité 2 fois