L'Histoire d'un homme.

C'est bien, toi aimer Lordaeron, donc toi être dans mon coeur.

Je n'ai pas encore tout lu mais à noter que lors de la création de l'Alliance de Lordaeron, Genn régnait déjà et non plus Archibald son père. Et Gilnéas fut bel et bien membre de l'Alliance à faire front face aux Orcs bien qu'elle n'ait pas envoyé beaucoup d'hommes. Le Mur de Grisetête fut créé bien des années après, peu avant le début de la Peste.

Seigneur des hommes, merci de votre précision dont je vous remercie.

Si vous relisez mon texte nulle part je ne fais mention des orcs dans la menace qui couve. Au moment ou l'homme est à Lordaeron, les orcs sont en camp et vaincus. Nul ne sait encore ce qu'il se passe. Bon, les termes de "guerre" font peut être confusion...

Par contre, il est vrai que j'ai raté un détail dans la chronologie du début, le mur est bien attribué à Genn et pas à son père. Je rectifie le tir. Il faut dire que j'ai eu bien du mal pour dater tout ça, ça m'a échappé.

Si jamais d'autres détails vous frappent, n'hésitez pas. (et je relirai le tout consciencieusement à tête reposée, il y aura peut être d'autres corrections de datation)


(Je partais du principe que le début de la peste date d'à peu près 16 à 20+ ans en arrière de maintenant, au mieux, ce qui donne en 616 / 618 selon Wiki warcraft, 610 selon Blizzard.
En prenant une marge d'erreur assez large n'étant pas sûr de la date actuelle - 631 selon Wiki warcraft, mais j'ai vu passer 634 ailleurs. Il faudra peut être que je rajeunisse un poil Johànn.)

Ah, je vois, car en fait il y était fait mentions de pactes entres royaumes et de menace, j'ai donc pensé aux débuts de l'Alliance de Lordaeron.

Pour parler de la qualité du texte maintenant, je l'ai trouvé à titre personnel très bon.
Ton style est riche et le récit en lui-même est chouette à lire. Le traitement de la chronologie... *regarde Aranarth* est... globalement logique, ce qui est plutôt difficile à faire dans un univers comme WoW où la datation des évènements est assez incomplète et le background plus que largement respecté, ce qui ne peut que ravir les érudits nains pointilleux tels que moi.
Tu mentionnes également la bière naine dans la troisième partie, donc c'est un point positif de plus.
Hormis deux ou trois fautes de conjugaison perdues dans les méandres du texte, aucune remarque négative à faire.