La Monture de Long-Vent commencait à fatiguer, deux heures de vol et toujours pas de Viaduc en vue. Il avait perdu ses camarades de vue suite à une purée de poix dans les hauteurs des Hinterlands. Le Contremaître était totalement perdu. Il devait atteindre la frontière Nord/sud. Ca c'était sur. Mais comment?
Pourtant, il commencait à comprendre ou il se trouvait. Pas loin près du camp des ogres.
Ok, quelques tours vers l'sud-ouest et c's'rait bon.
Lorsqu'il arriva, il ne pipa mot devant les chevaliers d'Achérus de l'Alliance. Normalement, il se serait jeté dessus en proférants des propos assez disgracieux, mais aujourd'hui:
Les ordres étaient claires:
-On ne touche pas aux alliés de l'Alliance d'Achérus.
-On arrete les poursuivants de Campilo.
-On récupère le maximum possible sur les restes des armées adverses.
L'armée d'Achérus avancait lentement. La plupart de ses éléments remontaient depuis Hautebrande en groupes hétéroclytes. On reconnaissait facilement ceux d'un ordre. C'était un étrange ensemble. M'enfin. C'est pas son affaire.
Le Contremaître vit enfin dans la Cohue le Mogul Technorage. L'vice-prince a décidément la main longue. Il était accompagné de la fine fleure des combattants du cartel. Des Vétérans impétueux, des monstres toujours prêt à t'hacher menu pour quelques sous.
Larkh salua la troupe, et se mit sous les ordres du Mogul, lui-même sous les ordres -enfin, théoriquement- du seigneur Rälkezad.
Le temps s'égrenna. Larkh n'aimait pas Technorage. C'était à ses yeux qu'un Gobelin coupé du monde réel, coincé dans son monde économique à tout voir en chiffre et non en couleur.
Cupide? Non. Tous les gens -Larkh en premier- étaient cupide dans le Cartel. Simplement qu'il devait être déconnecté de la réalité...
M'enfin, le contremaître subissait en silence. On ne contredit JAMAIS au grand dam JAMAIS les instances supérieurs. Au risque de finir Vendeur de Kaja-cola au Baillefond ou pire, cobaye dans les expériences du DR.Venreti ou du DR.Mornepeste...
Technorage les fit mettre en rang à l'entrée du Viaduc. Ils somnolèrent un sacré bout de temps, mais lorsque les poursuivants de Campilo arrivèrent, tous dégainèrent et se tinrent prêt...
De leur coté, le Trident était pas resté les bras balant, tout le monde a amené ce qu'il avait de mieux. Des combattants premières qualité.
Les gens devenaient nerveux au fur et à mesure des négociations. Puis Trarak revint avec des nouvelles inquiétantes, une rumeur se propagea dans les rangs: On allait les prendre à revers!
Malheure! S'ils perdaient, c'en était finit d'Achérus, et encore plus de leur vie! Le mot fut donné de se replier rapidement en plaine si jamais les négociations viraient au vinaigre.
Et elles virèrent au vinaigre. Comme un seul être, au signal de Rälkezad et d'Angellu, tout le monde partit se replier en Plaine. De là, ils pourront voir tous les mouvements de troupes. Et pas de surprise possible.
Finalement, l'armée de mercenaire qui mobilisait dans leur dos n'a pas agit. Les troupes de la Croisade et de la Garde impériale se rangèrent en ordre de bataille, et chargèrent au commandement de leurs généraux.
A pied ou en monture, les croisés chargèrent vaillament. Ils se gênaient. Voilà ce que l'on ressentait. Les chevaliers n'arrivaient pas à trouver suffisament de place pour leur épées batardes avec les jeunôts qui avec leur petites épées courtes foncaient sur les lignes ennemies qui elles, avaient les pics baissés prêt à l'embroche.
Ils s'empallèrent sur la muraille de boucliés. Les Lanceurs de sort et les archers les firent déguerpir.
La première vague fut repoussée.
Les Alliés refluèrent, et eurent à peine le temps de reformer les rangs que déjà la Horde contre-attaquait, ils durent encore battre en retraite. De jeunes paladins hurlaient terrifiés et fuyaient pour sauver leur peau.
Non, c'était réelement pas une armée, c'était un groupe de poursuite qui ne pensait pas vraiment tomber sur une résistance de troupes armées de matériels de guerres efficacent pour toutes situations avec du ravitaillement à deux pas...
L'armée alliée batta en retraite. C'est alors que le Mogul Technorage eu LE réflexe, le genre de réaction qui montre qu'il mérite sa place de Vice-prince:
-Bordel! Mais s'ils emportent les blessés! On n'aura plus rien à détrousser! et si on plus rien à détrousser! Ca veut dire pas d'bénéf! Et sans bénéf, pas d'orgie! Pas de salaire! Wou punaise! Mais chargez bande d'ânes!
D'un seul élan, toutes les troupes du cartel se jetterent sur les soldats éparpillés qui tentaient vainement de résister ou fuir.
Le Cartel soigne toujours ses membres, et l'élite combattante ne fait pas exception. Ils combattirent comme s'ils étaient en pleine expédition militaire à Tol barad: Pas de pitié, pas de prisonniers, tuer. (P.P.P.P.T, directive XB-984 Bureau Zircontusion 9013 Baillefond)
Un massacre, c'tout c'qu'on pouvait dire d'cette bataille. Une boucherie immonde.
Mais le Cartel avait tenu parole. Il avait répondu présent. Désormais, Le nord allait connaître la présence d'une nouvelle puissance. Une puissance Militaire, économique et politique.
Le Cartel Zircontusion débarque dans le Nord et ne compte pas y être opportuné.
Pourtant, il commencait à comprendre ou il se trouvait. Pas loin près du camp des ogres.
Ok, quelques tours vers l'sud-ouest et c's'rait bon.
Lorsqu'il arriva, il ne pipa mot devant les chevaliers d'Achérus de l'Alliance. Normalement, il se serait jeté dessus en proférants des propos assez disgracieux, mais aujourd'hui:
Les ordres étaient claires:
-On ne touche pas aux alliés de l'Alliance d'Achérus.
-On arrete les poursuivants de Campilo.
-On récupère le maximum possible sur les restes des armées adverses.
L'armée d'Achérus avancait lentement. La plupart de ses éléments remontaient depuis Hautebrande en groupes hétéroclytes. On reconnaissait facilement ceux d'un ordre. C'était un étrange ensemble. M'enfin. C'est pas son affaire.
Le Contremaître vit enfin dans la Cohue le Mogul Technorage. L'vice-prince a décidément la main longue. Il était accompagné de la fine fleure des combattants du cartel. Des Vétérans impétueux, des monstres toujours prêt à t'hacher menu pour quelques sous.
Larkh salua la troupe, et se mit sous les ordres du Mogul, lui-même sous les ordres -enfin, théoriquement- du seigneur Rälkezad.
Le temps s'égrenna. Larkh n'aimait pas Technorage. C'était à ses yeux qu'un Gobelin coupé du monde réel, coincé dans son monde économique à tout voir en chiffre et non en couleur.
Cupide? Non. Tous les gens -Larkh en premier- étaient cupide dans le Cartel. Simplement qu'il devait être déconnecté de la réalité...
M'enfin, le contremaître subissait en silence. On ne contredit JAMAIS au grand dam JAMAIS les instances supérieurs. Au risque de finir Vendeur de Kaja-cola au Baillefond ou pire, cobaye dans les expériences du DR.Venreti ou du DR.Mornepeste...
Technorage les fit mettre en rang à l'entrée du Viaduc. Ils somnolèrent un sacré bout de temps, mais lorsque les poursuivants de Campilo arrivèrent, tous dégainèrent et se tinrent prêt...
De leur coté, le Trident était pas resté les bras balant, tout le monde a amené ce qu'il avait de mieux. Des combattants premières qualité.
Les gens devenaient nerveux au fur et à mesure des négociations. Puis Trarak revint avec des nouvelles inquiétantes, une rumeur se propagea dans les rangs: On allait les prendre à revers!
Malheure! S'ils perdaient, c'en était finit d'Achérus, et encore plus de leur vie! Le mot fut donné de se replier rapidement en plaine si jamais les négociations viraient au vinaigre.
Et elles virèrent au vinaigre. Comme un seul être, au signal de Rälkezad et d'Angellu, tout le monde partit se replier en Plaine. De là, ils pourront voir tous les mouvements de troupes. Et pas de surprise possible.
Finalement, l'armée de mercenaire qui mobilisait dans leur dos n'a pas agit. Les troupes de la Croisade et de la Garde impériale se rangèrent en ordre de bataille, et chargèrent au commandement de leurs généraux.
A pied ou en monture, les croisés chargèrent vaillament. Ils se gênaient. Voilà ce que l'on ressentait. Les chevaliers n'arrivaient pas à trouver suffisament de place pour leur épées batardes avec les jeunôts qui avec leur petites épées courtes foncaient sur les lignes ennemies qui elles, avaient les pics baissés prêt à l'embroche.
Ils s'empallèrent sur la muraille de boucliés. Les Lanceurs de sort et les archers les firent déguerpir.
La première vague fut repoussée.
Les Alliés refluèrent, et eurent à peine le temps de reformer les rangs que déjà la Horde contre-attaquait, ils durent encore battre en retraite. De jeunes paladins hurlaient terrifiés et fuyaient pour sauver leur peau.
Non, c'était réelement pas une armée, c'était un groupe de poursuite qui ne pensait pas vraiment tomber sur une résistance de troupes armées de matériels de guerres efficacent pour toutes situations avec du ravitaillement à deux pas...
L'armée alliée batta en retraite. C'est alors que le Mogul Technorage eu LE réflexe, le genre de réaction qui montre qu'il mérite sa place de Vice-prince:
-Bordel! Mais s'ils emportent les blessés! On n'aura plus rien à détrousser! et si on plus rien à détrousser! Ca veut dire pas d'bénéf! Et sans bénéf, pas d'orgie! Pas de salaire! Wou punaise! Mais chargez bande d'ânes!
D'un seul élan, toutes les troupes du cartel se jetterent sur les soldats éparpillés qui tentaient vainement de résister ou fuir.
Le Cartel soigne toujours ses membres, et l'élite combattante ne fait pas exception. Ils combattirent comme s'ils étaient en pleine expédition militaire à Tol barad: Pas de pitié, pas de prisonniers, tuer. (P.P.P.P.T, directive XB-984 Bureau Zircontusion 9013 Baillefond)
Un massacre, c'tout c'qu'on pouvait dire d'cette bataille. Une boucherie immonde.
Mais le Cartel avait tenu parole. Il avait répondu présent. Désormais, Le nord allait connaître la présence d'une nouvelle puissance. Une puissance Militaire, économique et politique.
Le Cartel Zircontusion débarque dans le Nord et ne compte pas y être opportuné.
