HRP : Et oui, vous l'attendiez tous, il est là ! Notre Liche préferée va enfin nous dévoiler tous ses secrets ! Le récit est en cours d'écriture voici déjà le premier chapitre, les autres suivront si celui là vous plait
Bonne lecture
Chapitre premier – La naissance du fléau
Il était une fois, dans une tombe joliment décorée de petites fleurs roses en papier crépon, un cadavre qui dormait là depuis plus de 156984865848 ans. Ce cadavre était celui de l’un des plus puissants pâtissiers de tous les temps… Zazar ! Sa mort, noble et héroïque, s’était déroulée rapidement en deux heures, quarante-cinq minutes et treize secondes lors de la confection d’un merveilleux crumble aux pommes. En effet, la température de cuisson ayant été trafiquée pendant la sieste de notre héros, le four avait explosé en morceaux et tué Zazar sur le coup à la suite d’une longue incinération.
Le mort enfin présenté, vous vous demanderez certainement pourquoi on parle de lui. Eh bien ce jour là, un sorcier qui passait par là, comme par hasard, l’avait ressuscité, on sait pas trop pourquoi. Et le sorcier était reparti sans demander son reste (expression que je n’ai jamais réussi à caser correctement dans une histoire.) Zazar s’était donc relevé lentement et était sorti de sa crypte dans laquelle il dormait depuis (voir chiffres énoncés plus haut) années. En se regardant, Zazar constata avec effroi qu’il était un mort-vivant !
« Arf, ça daille ! J’ai l’air malin comme ça moi ! »
Zazar décida donc immédiatement de partir à la recherche d’un moyen de retrouver son corps d’origine et de reprendre son crumble là où il en était. En chemin, il tomba, comme par hasard une fois encore, sur un campement humain dirigé par un paladin. C’était un camp de l’ordre du Crumble ! Zazar s’avança et accosta les gardes.
« Salut ! Je peux entrer ?
- Euh... il me faut le mot de passe.
- Hum et quel est-il ?
- J’ai oublié.
- Bon d’accord… j’ai oublié !
- Entrez !
-Merki »
Zazar croisa, cph*, le paladin susnommé**. Il se nommait Zazarr***.
« Salut à toi, paladin !
- Salut ça farte ?
- Comment t’appelles-tu ?
______________________________________
* Afin d’éviter d’abuser de la patience d’un éventuel lecteur, nous remplacerons tous les « comme par hasard » de cette histoire par des cph.
**Susnommé étant le nom prestigieux de la famille de notre paladin.
*** Afin de différencier les deux Zazars et de combler les désirs de notre liche préférée, nous indiquerons par un Zazar (dont il faut laisser les « r » tranquilles) notre liche et par un Zazarr (dont il faut rouler le « r ») le paladin susnommé.
Bonne lecture
Chapitre premier – La naissance du fléau
Il était une fois, dans une tombe joliment décorée de petites fleurs roses en papier crépon, un cadavre qui dormait là depuis plus de 156984865848 ans. Ce cadavre était celui de l’un des plus puissants pâtissiers de tous les temps… Zazar ! Sa mort, noble et héroïque, s’était déroulée rapidement en deux heures, quarante-cinq minutes et treize secondes lors de la confection d’un merveilleux crumble aux pommes. En effet, la température de cuisson ayant été trafiquée pendant la sieste de notre héros, le four avait explosé en morceaux et tué Zazar sur le coup à la suite d’une longue incinération.
Le mort enfin présenté, vous vous demanderez certainement pourquoi on parle de lui. Eh bien ce jour là, un sorcier qui passait par là, comme par hasard, l’avait ressuscité, on sait pas trop pourquoi. Et le sorcier était reparti sans demander son reste (expression que je n’ai jamais réussi à caser correctement dans une histoire.) Zazar s’était donc relevé lentement et était sorti de sa crypte dans laquelle il dormait depuis (voir chiffres énoncés plus haut) années. En se regardant, Zazar constata avec effroi qu’il était un mort-vivant !
« Arf, ça daille ! J’ai l’air malin comme ça moi ! »
Zazar décida donc immédiatement de partir à la recherche d’un moyen de retrouver son corps d’origine et de reprendre son crumble là où il en était. En chemin, il tomba, comme par hasard une fois encore, sur un campement humain dirigé par un paladin. C’était un camp de l’ordre du Crumble ! Zazar s’avança et accosta les gardes.
« Salut ! Je peux entrer ?
- Euh... il me faut le mot de passe.
- Hum et quel est-il ?
- J’ai oublié.
- Bon d’accord… j’ai oublié !
- Entrez !
-Merki »
Zazar croisa, cph*, le paladin susnommé**. Il se nommait Zazarr***.
« Salut à toi, paladin !
- Salut ça farte ?
- Comment t’appelles-tu ?
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* Afin d’éviter d’abuser de la patience d’un éventuel lecteur, nous remplacerons tous les « comme par hasard » de cette histoire par des cph.
**Susnommé étant le nom prestigieux de la famille de notre paladin.
*** Afin de différencier les deux Zazars et de combler les désirs de notre liche préférée, nous indiquerons par un Zazar (dont il faut laisser les « r » tranquilles) notre liche et par un Zazarr (dont il faut rouler le « r ») le paladin susnommé.