voila voila, avide d'avis sur ce que j'ecrit je met en ligne un petit extrait du livre que j'ecrit.
Je sais que c'est complemtement hrp et hros de wow, et aussi que helas ca sera incomplet ^^
enfin bref, voila mon petit recit, donné moi des avis negatif ou positif je prends tout! (sauf les baffes)
- Avez-vous retrouver des survivants capitaines ? Demanda Calomel en regardant le coucher de soleil sur les montagnes bordant Onas.
- Pas le moindre Prince, ce village humain à belle est bien été décimé par des démons, regarder.
Le capitaine lança un morceau d’étoffe à Calomel et celui-ci pus constaté avec amertume que du sang orange eût teinté le tissu, ce sang était celui d’un démon, impossible de se tromper.
- Vérifions une dernière fois si quelqu’un à survécu et ensuite rentrons à notre cité. Déclara-il en déposant l’étoffe sur une tombe humaine prés de là.
- À vos ordres Prince ! Le capitaine se pressa de donner les instructions et s’éloigna à la recherche d’hypothétique survivant.
Déposant une gerbe d’orchidée sauvage sur la tombe d’un jeune enfant, le prince se releva et récita une prière aux dieux.
- Quand je pense… Que c’est mon peuple qui est haï par les humains… Alors que nous les protégeons… Dieu miséricordieux... Pourquoi avoir affligé mon peuple de tout cela…
Descendant vers le village en ruine, il découvrit une rose bleue sur une tombe… Caressant les pétales de la fleur, il susurra.
- ashbenrenten… Sinquoren… Eldors.
Et, d’un geste, il écrasa dans son poings la fleur, détruisant méticuleusement les pétales, effaçant toutes traces de ce qui avait été une magnifique rose, sur une tombe humaine.
Voilà maintenant des siècles et des siècles que les Eldors et les démons se traquer l’un l’autre… Sans qu’aucun ne se trouve, les humains subissant les attaques de démons sans que les eldors ne puisse intervenir… Et cette fois ci encore ces maudits démons leur échapper. Calomel se pressa de rejoindre ses hommes et de chercher dans les décombres encore fumants des maisons de chaumes.
Un cri d’enfants se fit entendre, un cri étouffé, la réaction du Prince fut fulgurante.
Collant son oreille sur la roche, il étendit ses sens pour percevoir le moindre son, un cri de désespoir lui parvint de sous les décombres, un cri déchirant son âme.
- Creuser ici, il y a un enfant coincer, je vais aller le rejoindre !
- À vos ordres !
Joignant ses mains, le prince changea d’aspect et se liquéfia pour s’insinuer dans les décombres. C’était un véritable labyrinthe, des poutres entravait son chemin, des roches brûlés par la magie noirs lui imposé des détours lui faisant perdre un temps précieux, le cri devenait de plus en plus faible, mais le désespoir n’avait jamais était aussi grand dans son âme, il ressentait la détresse de ce petit humains coincé. Chaque cellule en lui ressentait cette peur et ce désespoir. « Tient bon petit être… Tient bon ! »
A force de patience et de persévérance, Calomel arriva a l’enfants, il devait avoir cinq ans, il était dans une cachette fermée de l’extérieur, traversant la parois pour voir l’extérieur, il vit le cadavre de l’humaine, broyé par une pierre tombé sur son dos, son visage déformé par la douleur et la tristesse. Le prince se rendit invisible en reprenant forme humaine et se hâta d’endormir l’enfant. Il ne fallait pas qu’il le voie utilisait la magie, les humains considérant comme maléfique tous ceux qui en user.
-Shinraden… Bestora !
Des nimbes noirs sortirent du sol et commencèrent à avaler les débris, dégageant peu à peu le passage à l’air libre, en moins de cinq minutes, une douce lumière envahis l’abri. Le capitaine se précipita dans la faille et déclara.
- On à retrouver deux autres survivant, des enfants mon prince.
- Très bien capitaine. Prenez l’enfant derrière moi, et avec deux hommes descendait les à Onas en utilisant le mensonge habituel.
- Très bien mon prince.
- Rejoignez nous aussitôt après à la cité.
- À vos ordres.
Calomel laissa au capitaine le choix des hommes et rentra avec sa troupe à la cité. Il se métamorphosa et des ailes de plume blanche comme de la nacre lui poussèrent dans le dos, deux ailes immenses, la troupe, a l’exception du capitaine et de deux hommes, prirent les airs, regardant une dernière fois en arrière un de ses soldats lui demanda.
- Mon Prince… Pourquoi faire le jeu des démons et dire que les eldors sont la cause de ces massacres ? Nous pourrions leur dire la vérité…
Calomel se retourna et répondit pour sa troupe d’une voix autoritaire, mais trahissant un soupçon de lassitude et de tristesse.
- Non… Nous n’avons pas à impliquer les humains dans notre guerre contre les démons. Ils sont trop faibles et je ne veux pas porter le sang de millier d’humains sur mes mains car ils nous aideront, quoi qu’on leur dise. Mieux vaut qu’ils nous haïssent nous, au moins… Nous n’avons pas a nous inquiété d’une éventuelle attaque sur nos cités.
- Mais Prince… Répliqua le soldat en cherchant ses arguments.
- Il suffit ! Répondit Calomel aussitôt coupant court a la discussion. Telle est la volonté du roi et du conseil ! Vous le savez aussi bien que moi !
- Bien mon prince… Répondit le soldat en baissant la tête.
- Maintenant… Rentrons chez nous.
D’un battement d’aile, les soldats et le prince se fondirent dans l’immensité du ciel.
Alors qu’il se laissé plané sur un vents favorable, un chants commença a monté de la troupe, un chants funèbre, une oraison funeste de l’avenir et de la mort, un chants déchirant l’âme de tristesse. La lamentation des soldats en hommage a ses humains mort absurdement, fit que le prince prit par aux chants, mêlant sa voix forte et douce au son funèbre qui déchirait le ciel lui même.
Le ciel encore une fois pleura…
Quelques heures plus tard ils furent à la cité. C’était une île gigantesque où se trouver le palais des Dieux, à la fois la résidence de la famille royale, mais aussi le lieu où était rendu le culte des dieux et des lunes, un bâtiment mi temple, mi palais, les flèches s’élevaient en harmonie vers le ciel nimbé d’orange, de vastes et haut mur entourer la résidence des dieux et du roi. Et gravé a même le bâtiment, d’immense fresque obscur pour un humain représentait l’éternel combat des Eldors contre les forces des démons. Tout autour s’élevait la riche ville des Eldors, parer de couleur et construite avec délicatesse, le tout dans une volonté de fascination et de discrétion, certain bâtiment semblait flotter eux-mêmes dans le vide du ciel, et tous s’élancer vers le ciel, comme un hommage permanent a cette immensité qui leur servaient de refuge. Pierre et sa troupe se posèrent à la caserne située derrière le palais, Myosotis, la princesse des Eldors, revêtu d’une élégante robe de soie blanche paré de mille joyaux gravés de rune, coiffé d’une queue-de-cheval descendant jusqu'à sol et de sa boucle a cheveux, le symbole de son rang. Elle attendait dans les écuries, soignant une licorne noire à la crinière aussi blanche que la neige, elle se précipita vers son frère et tous deux s’enlacèrent. Si elle n’avait pas était sa sœur adoptée une centaine d’années plus tôt, il l’aurait volontiers embrassée.
- Comment cela c’est il passer ? Le prince baissa les yeux et un air tristes teinta son visage.
- Il n’y a que trois survivants, trois enfants, le reste du village a été décimé… Plus de trois cents personne… Laisse-moi s’il te plait… Je suis fatigué…
Calomel repoussa doucement sa sœur et parti d’un pas las vers son appartement. Myosotis, le visage attristé resta sur place et regarda son frère s’éloigner. Un soldat qui avait surpris la conversation vint par là et déclara.
- Altesse…
- Oui soldats ? Le soldat hésita un moment et repris.
- Princesse puis-je vous demandez quelque chose ?
- Faites donc. Répondit Myosotis en reprenant l’assurance d’une princesse. Le soldat se mit à genou à côté d’elle et lui déclara.
- Veiller sur le Prince, nous savons tous qu’il vous aime du plus profond de son cœur et qu’il en est de même pour vous. Alors veiller sur lui… S’il venait à craquer, les Eldors tomberaient pour de bon. Veillez sur lui.
Puis le soldat se releva s’excusa et s’éloigna, laissant la princesse seule.
Des ombres dansaient dans ses songes, partout on venait et l’on allait, mais nul visage, nulle musique ne venaient de ses mirages. Calomel allait et venait, voulant se l’expliquer, voulant trouver d’où venait cette obscurité. Puis il marcha, marcha d’un long pas, et au fur et à mesure de ses pas, le sol craqué. Et finalement les ombres disparurent, il se retrouva seul. Non… Au loin s’élever une frêle silhouette, de longs cheveux noirs, laqué descendait jusqu’au sol blanc comme neige, mais son visage demeurait obscur, caché par sa coiffure. Elle portait une longue tunique bleue comme l’azur, un châle d’un vert oppressant, et Calomel pris conscience de sur quoi il marchait, des cadavres par milliers, des squelettes à perte de vue, et quand la silhouette se retourna, il reconnut sa sœur Myosotis, ses trait délicats dessiné un visage pur, remplie de calme et d’amour, puis de sa délicate bouche s’échappa sa pensée. « Adieu Prince… »
- MYOSOTIS !!!...
Il était dans son lit, trempé de sueur, la main en avant, comme s’il avait tenté de rattraper ce songe, haletant, puis il reprit conscience de la réalité. Il était dans sa chambre, il faisait encore nuit et l’ombre couvrait les fines gravures de ses exploits de guerre accroché à son mur, et avec la faible lueur de la lune d’or au-dehors, il pus voir en face de lui son étagère où s’entassait nombre de livre et nombre d’objet ramassais au cours de sa longue vie d’Eldors de plus de trois âge, et aussi de nombreuses autres choses. Le jour était encore loin, encore secoué de ce rêve secouant ces courtes nuits, il enfila sa tunique de nuit et sa boucle a cheveux et sortit de sa chambre, une chandelle à la main, le couloir était désert, et du pied, Calomel foula le doux tapis de laine tressé de discret motif. Marchant d’un pas léger, il gagna les jardins et une fois au-dehors pus profiter d’une plus douce lumière. Les jardins étaient parsemés d’arbres fruitiers et de buissons doux comme de la soie.
Avec un calme serein, il fit quelque pas dans l’herbe fraîche parmi les cerisiers en fleurs et les autres arbres qui n’avaient pas encore fleuri, et laissant flotté sa main libre il caressa doucement les feuilles d’un doux buisson, et songea amèrement qu’en ce moment, il était en guerre. Depuis des siècles, il n’avait cessé de repousser les hordes du monde des ombres, et cela même en restant dans l’ombre des humains, obligé de ce caché depuis qu’avec les dragons, ils avaient perdu leur autorité sur les hommes, depuis que le conseil avaient décidé de mettre toutes ces horreurs sur le dos des eldors. Mais, il oublia bien vite ses sombres pensé quand il vit le plus bel arbre du jardin, un vieux chêne de plus de 6 âges, plantés par les anciens esprits dans cette cité qu’aucun mortel n’avait vue. C’était un arbre qui dégageait une volonté de vivre sans faille, et malgré tout ses millénaires, il continuait de fleurir. Et il resta une bonne partis de la nuit à contempler cet arbre, apaisant sa peur, soulagent ses doutes, et purifiant son esprit… Il en avait besoin, plus que jamais. Aux alentours de l’aube, il entendit des pas venir vers lui, des pas délicats à peine perceptible dans l’herbe fraîche avec la rosée. Se retournant doucement, il vit Myosotis dans une robe de chambre Outremer, ses cheveux n’étaient pas attachés en queue-de-cheval et descendaient jusqu’à ses chevilles, elle était emmitouflée dans un châle d’azur, on aurait dit une nymphe marchante d’un pas insouciant dans une clairière semée d’arbre. Quand elle le vit, elle marcha d’un pas tranquille dans sa direction et s’assis à côté de lui dans l’herbe. Elle demanda d’une voix douce.
- Tu est là depuis combien de temps ?
- Cela ne fait pas longtemps, cinq minutes tout au plus, mais toi, pourquoi viens-tu si tôt ? Myosotis pris le temps de considérer sa réponse et d’un geste souffla la chandelle presque morte que Calomel avait amenée.
- Le temps passe inlassablement, et certaine chose ne ment pas, dit myosotis en ramassant la chandelle, cette chandelle à brûler et brûler durant cette nuit, et je crois comprendre à sa longueur, que tu n’as guère dormi… Toujours ce cauchemar mon frère ? Soupirant, il s’étonna de sa propre bêtise, il aurait dû s’en souvenir, Myosotis devinait aisément ses pensées.
- Oui… Voilà maintenant des mois et des mois qu’il m’assaille sans relâche. Même pour un Eldors cela n’est pas normale. Et de toute façon je suis las. Nous Eldors, autrefois peuple si fière, peuple si puissant, nous voila obligé de nous caché, jetés dans l’opprobre par ces mensonges, jeté dans la haine par la décision du conseil. Je suis las… J’en ai assez de vivre et de voir tuerie jours après jours, même s’ils ne font pas partie de mon peuple, j’ai peine pour eu, et je sais que cela ne m’avance pas à grande chose, mais que veux-tu… Je ne peux m’opposer au conseil sciemment, quoi que je fasse… Je suis prince, aucunement membre du conseil… Astera vena…
Myosotis soupira et resta assis un moment avec lui, elle savait son frère lassé de se battre, lassé d’être obligé de se cacher du monde. Lassait de vivre… Elle soupira de nouveau et sans qu’il s’y attende, elle l’enserra dans ses bras, et lui murmura doucement à l’oreille.
- Oublie vite ses mauvais songes mon frère, je sais que tu ne supporte plus de nous voir hait par les hommes, je sais que tu ne supporte plus de devoir te cacher, de devoir traquer un ennemi invisibles et qui te nargue par toujours plus de tuerie, je sais tout cela… Mais je veut aussi que tu sache…Tu a veillé sur moi quand vous m’avez recueilli… Moi unique survivante de la cité de la faille noire, tu m’as redonné le goût de vivre, le goût de la vie, sans toi… Tu le sais mon frère…Je n’aurais pas hésité à signer mon pacte…Si tu n’avais pas était la pour moi. Maintenant, c’est à moi de veiller sur toi, c’est à moi de te redonner l’espoir dont tu a besoin… Et je le ferais, tu le sais autant que moi.
Calomel posa sa main sur le bras de Myosotis et la remercia, la simple faite d’être avec elle l’aider à rester dans ce bas monde.
Je sais que c'est complemtement hrp et hros de wow, et aussi que helas ca sera incomplet ^^
enfin bref, voila mon petit recit, donné moi des avis negatif ou positif je prends tout! (sauf les baffes)
- Avez-vous retrouver des survivants capitaines ? Demanda Calomel en regardant le coucher de soleil sur les montagnes bordant Onas.
- Pas le moindre Prince, ce village humain à belle est bien été décimé par des démons, regarder.
Le capitaine lança un morceau d’étoffe à Calomel et celui-ci pus constaté avec amertume que du sang orange eût teinté le tissu, ce sang était celui d’un démon, impossible de se tromper.
- Vérifions une dernière fois si quelqu’un à survécu et ensuite rentrons à notre cité. Déclara-il en déposant l’étoffe sur une tombe humaine prés de là.
- À vos ordres Prince ! Le capitaine se pressa de donner les instructions et s’éloigna à la recherche d’hypothétique survivant.
Déposant une gerbe d’orchidée sauvage sur la tombe d’un jeune enfant, le prince se releva et récita une prière aux dieux.
- Quand je pense… Que c’est mon peuple qui est haï par les humains… Alors que nous les protégeons… Dieu miséricordieux... Pourquoi avoir affligé mon peuple de tout cela…
Descendant vers le village en ruine, il découvrit une rose bleue sur une tombe… Caressant les pétales de la fleur, il susurra.
- ashbenrenten… Sinquoren… Eldors.
Et, d’un geste, il écrasa dans son poings la fleur, détruisant méticuleusement les pétales, effaçant toutes traces de ce qui avait été une magnifique rose, sur une tombe humaine.
Voilà maintenant des siècles et des siècles que les Eldors et les démons se traquer l’un l’autre… Sans qu’aucun ne se trouve, les humains subissant les attaques de démons sans que les eldors ne puisse intervenir… Et cette fois ci encore ces maudits démons leur échapper. Calomel se pressa de rejoindre ses hommes et de chercher dans les décombres encore fumants des maisons de chaumes.
Un cri d’enfants se fit entendre, un cri étouffé, la réaction du Prince fut fulgurante.
Collant son oreille sur la roche, il étendit ses sens pour percevoir le moindre son, un cri de désespoir lui parvint de sous les décombres, un cri déchirant son âme.
- Creuser ici, il y a un enfant coincer, je vais aller le rejoindre !
- À vos ordres !
Joignant ses mains, le prince changea d’aspect et se liquéfia pour s’insinuer dans les décombres. C’était un véritable labyrinthe, des poutres entravait son chemin, des roches brûlés par la magie noirs lui imposé des détours lui faisant perdre un temps précieux, le cri devenait de plus en plus faible, mais le désespoir n’avait jamais était aussi grand dans son âme, il ressentait la détresse de ce petit humains coincé. Chaque cellule en lui ressentait cette peur et ce désespoir. « Tient bon petit être… Tient bon ! »
A force de patience et de persévérance, Calomel arriva a l’enfants, il devait avoir cinq ans, il était dans une cachette fermée de l’extérieur, traversant la parois pour voir l’extérieur, il vit le cadavre de l’humaine, broyé par une pierre tombé sur son dos, son visage déformé par la douleur et la tristesse. Le prince se rendit invisible en reprenant forme humaine et se hâta d’endormir l’enfant. Il ne fallait pas qu’il le voie utilisait la magie, les humains considérant comme maléfique tous ceux qui en user.
-Shinraden… Bestora !
Des nimbes noirs sortirent du sol et commencèrent à avaler les débris, dégageant peu à peu le passage à l’air libre, en moins de cinq minutes, une douce lumière envahis l’abri. Le capitaine se précipita dans la faille et déclara.
- On à retrouver deux autres survivant, des enfants mon prince.
- Très bien capitaine. Prenez l’enfant derrière moi, et avec deux hommes descendait les à Onas en utilisant le mensonge habituel.
- Très bien mon prince.
- Rejoignez nous aussitôt après à la cité.
- À vos ordres.
Calomel laissa au capitaine le choix des hommes et rentra avec sa troupe à la cité. Il se métamorphosa et des ailes de plume blanche comme de la nacre lui poussèrent dans le dos, deux ailes immenses, la troupe, a l’exception du capitaine et de deux hommes, prirent les airs, regardant une dernière fois en arrière un de ses soldats lui demanda.
- Mon Prince… Pourquoi faire le jeu des démons et dire que les eldors sont la cause de ces massacres ? Nous pourrions leur dire la vérité…
Calomel se retourna et répondit pour sa troupe d’une voix autoritaire, mais trahissant un soupçon de lassitude et de tristesse.
- Non… Nous n’avons pas à impliquer les humains dans notre guerre contre les démons. Ils sont trop faibles et je ne veux pas porter le sang de millier d’humains sur mes mains car ils nous aideront, quoi qu’on leur dise. Mieux vaut qu’ils nous haïssent nous, au moins… Nous n’avons pas a nous inquiété d’une éventuelle attaque sur nos cités.
- Mais Prince… Répliqua le soldat en cherchant ses arguments.
- Il suffit ! Répondit Calomel aussitôt coupant court a la discussion. Telle est la volonté du roi et du conseil ! Vous le savez aussi bien que moi !
- Bien mon prince… Répondit le soldat en baissant la tête.
- Maintenant… Rentrons chez nous.
D’un battement d’aile, les soldats et le prince se fondirent dans l’immensité du ciel.
Alors qu’il se laissé plané sur un vents favorable, un chants commença a monté de la troupe, un chants funèbre, une oraison funeste de l’avenir et de la mort, un chants déchirant l’âme de tristesse. La lamentation des soldats en hommage a ses humains mort absurdement, fit que le prince prit par aux chants, mêlant sa voix forte et douce au son funèbre qui déchirait le ciel lui même.
Le ciel encore une fois pleura…
Quelques heures plus tard ils furent à la cité. C’était une île gigantesque où se trouver le palais des Dieux, à la fois la résidence de la famille royale, mais aussi le lieu où était rendu le culte des dieux et des lunes, un bâtiment mi temple, mi palais, les flèches s’élevaient en harmonie vers le ciel nimbé d’orange, de vastes et haut mur entourer la résidence des dieux et du roi. Et gravé a même le bâtiment, d’immense fresque obscur pour un humain représentait l’éternel combat des Eldors contre les forces des démons. Tout autour s’élevait la riche ville des Eldors, parer de couleur et construite avec délicatesse, le tout dans une volonté de fascination et de discrétion, certain bâtiment semblait flotter eux-mêmes dans le vide du ciel, et tous s’élancer vers le ciel, comme un hommage permanent a cette immensité qui leur servaient de refuge. Pierre et sa troupe se posèrent à la caserne située derrière le palais, Myosotis, la princesse des Eldors, revêtu d’une élégante robe de soie blanche paré de mille joyaux gravés de rune, coiffé d’une queue-de-cheval descendant jusqu'à sol et de sa boucle a cheveux, le symbole de son rang. Elle attendait dans les écuries, soignant une licorne noire à la crinière aussi blanche que la neige, elle se précipita vers son frère et tous deux s’enlacèrent. Si elle n’avait pas était sa sœur adoptée une centaine d’années plus tôt, il l’aurait volontiers embrassée.
- Comment cela c’est il passer ? Le prince baissa les yeux et un air tristes teinta son visage.
- Il n’y a que trois survivants, trois enfants, le reste du village a été décimé… Plus de trois cents personne… Laisse-moi s’il te plait… Je suis fatigué…
Calomel repoussa doucement sa sœur et parti d’un pas las vers son appartement. Myosotis, le visage attristé resta sur place et regarda son frère s’éloigner. Un soldat qui avait surpris la conversation vint par là et déclara.
- Altesse…
- Oui soldats ? Le soldat hésita un moment et repris.
- Princesse puis-je vous demandez quelque chose ?
- Faites donc. Répondit Myosotis en reprenant l’assurance d’une princesse. Le soldat se mit à genou à côté d’elle et lui déclara.
- Veiller sur le Prince, nous savons tous qu’il vous aime du plus profond de son cœur et qu’il en est de même pour vous. Alors veiller sur lui… S’il venait à craquer, les Eldors tomberaient pour de bon. Veillez sur lui.
Puis le soldat se releva s’excusa et s’éloigna, laissant la princesse seule.
Des ombres dansaient dans ses songes, partout on venait et l’on allait, mais nul visage, nulle musique ne venaient de ses mirages. Calomel allait et venait, voulant se l’expliquer, voulant trouver d’où venait cette obscurité. Puis il marcha, marcha d’un long pas, et au fur et à mesure de ses pas, le sol craqué. Et finalement les ombres disparurent, il se retrouva seul. Non… Au loin s’élever une frêle silhouette, de longs cheveux noirs, laqué descendait jusqu’au sol blanc comme neige, mais son visage demeurait obscur, caché par sa coiffure. Elle portait une longue tunique bleue comme l’azur, un châle d’un vert oppressant, et Calomel pris conscience de sur quoi il marchait, des cadavres par milliers, des squelettes à perte de vue, et quand la silhouette se retourna, il reconnut sa sœur Myosotis, ses trait délicats dessiné un visage pur, remplie de calme et d’amour, puis de sa délicate bouche s’échappa sa pensée. « Adieu Prince… »
- MYOSOTIS !!!...
Il était dans son lit, trempé de sueur, la main en avant, comme s’il avait tenté de rattraper ce songe, haletant, puis il reprit conscience de la réalité. Il était dans sa chambre, il faisait encore nuit et l’ombre couvrait les fines gravures de ses exploits de guerre accroché à son mur, et avec la faible lueur de la lune d’or au-dehors, il pus voir en face de lui son étagère où s’entassait nombre de livre et nombre d’objet ramassais au cours de sa longue vie d’Eldors de plus de trois âge, et aussi de nombreuses autres choses. Le jour était encore loin, encore secoué de ce rêve secouant ces courtes nuits, il enfila sa tunique de nuit et sa boucle a cheveux et sortit de sa chambre, une chandelle à la main, le couloir était désert, et du pied, Calomel foula le doux tapis de laine tressé de discret motif. Marchant d’un pas léger, il gagna les jardins et une fois au-dehors pus profiter d’une plus douce lumière. Les jardins étaient parsemés d’arbres fruitiers et de buissons doux comme de la soie.
Avec un calme serein, il fit quelque pas dans l’herbe fraîche parmi les cerisiers en fleurs et les autres arbres qui n’avaient pas encore fleuri, et laissant flotté sa main libre il caressa doucement les feuilles d’un doux buisson, et songea amèrement qu’en ce moment, il était en guerre. Depuis des siècles, il n’avait cessé de repousser les hordes du monde des ombres, et cela même en restant dans l’ombre des humains, obligé de ce caché depuis qu’avec les dragons, ils avaient perdu leur autorité sur les hommes, depuis que le conseil avaient décidé de mettre toutes ces horreurs sur le dos des eldors. Mais, il oublia bien vite ses sombres pensé quand il vit le plus bel arbre du jardin, un vieux chêne de plus de 6 âges, plantés par les anciens esprits dans cette cité qu’aucun mortel n’avait vue. C’était un arbre qui dégageait une volonté de vivre sans faille, et malgré tout ses millénaires, il continuait de fleurir. Et il resta une bonne partis de la nuit à contempler cet arbre, apaisant sa peur, soulagent ses doutes, et purifiant son esprit… Il en avait besoin, plus que jamais. Aux alentours de l’aube, il entendit des pas venir vers lui, des pas délicats à peine perceptible dans l’herbe fraîche avec la rosée. Se retournant doucement, il vit Myosotis dans une robe de chambre Outremer, ses cheveux n’étaient pas attachés en queue-de-cheval et descendaient jusqu’à ses chevilles, elle était emmitouflée dans un châle d’azur, on aurait dit une nymphe marchante d’un pas insouciant dans une clairière semée d’arbre. Quand elle le vit, elle marcha d’un pas tranquille dans sa direction et s’assis à côté de lui dans l’herbe. Elle demanda d’une voix douce.
- Tu est là depuis combien de temps ?
- Cela ne fait pas longtemps, cinq minutes tout au plus, mais toi, pourquoi viens-tu si tôt ? Myosotis pris le temps de considérer sa réponse et d’un geste souffla la chandelle presque morte que Calomel avait amenée.
- Le temps passe inlassablement, et certaine chose ne ment pas, dit myosotis en ramassant la chandelle, cette chandelle à brûler et brûler durant cette nuit, et je crois comprendre à sa longueur, que tu n’as guère dormi… Toujours ce cauchemar mon frère ? Soupirant, il s’étonna de sa propre bêtise, il aurait dû s’en souvenir, Myosotis devinait aisément ses pensées.
- Oui… Voilà maintenant des mois et des mois qu’il m’assaille sans relâche. Même pour un Eldors cela n’est pas normale. Et de toute façon je suis las. Nous Eldors, autrefois peuple si fière, peuple si puissant, nous voila obligé de nous caché, jetés dans l’opprobre par ces mensonges, jeté dans la haine par la décision du conseil. Je suis las… J’en ai assez de vivre et de voir tuerie jours après jours, même s’ils ne font pas partie de mon peuple, j’ai peine pour eu, et je sais que cela ne m’avance pas à grande chose, mais que veux-tu… Je ne peux m’opposer au conseil sciemment, quoi que je fasse… Je suis prince, aucunement membre du conseil… Astera vena…
Myosotis soupira et resta assis un moment avec lui, elle savait son frère lassé de se battre, lassé d’être obligé de se cacher du monde. Lassait de vivre… Elle soupira de nouveau et sans qu’il s’y attende, elle l’enserra dans ses bras, et lui murmura doucement à l’oreille.
- Oublie vite ses mauvais songes mon frère, je sais que tu ne supporte plus de nous voir hait par les hommes, je sais que tu ne supporte plus de devoir te cacher, de devoir traquer un ennemi invisibles et qui te nargue par toujours plus de tuerie, je sais tout cela… Mais je veut aussi que tu sache…Tu a veillé sur moi quand vous m’avez recueilli… Moi unique survivante de la cité de la faille noire, tu m’as redonné le goût de vivre, le goût de la vie, sans toi… Tu le sais mon frère…Je n’aurais pas hésité à signer mon pacte…Si tu n’avais pas était la pour moi. Maintenant, c’est à moi de veiller sur toi, c’est à moi de te redonner l’espoir dont tu a besoin… Et je le ferais, tu le sais autant que moi.
Calomel posa sa main sur le bras de Myosotis et la remercia, la simple faite d’être avec elle l’aider à rester dans ce bas monde.