Culte de la Rive Noire - RP

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    petit récit hors wow

    Sanaren
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    Message  Sanaren Jeu 26 Fév 2009 - 20:16

    voila voila, avide d'avis sur ce que j'ecrit je met en ligne un petit extrait du livre que j'ecrit.
    Je sais que c'est complemtement hrp et hros de wow, et aussi que helas ca sera incomplet ^^
    enfin bref, voila mon petit recit, donné moi des avis negatif ou positif je prends tout! (sauf les baffes)


    - Avez-vous retrouver des survivants capitaines ? Demanda Calomel en regardant le coucher de soleil sur les montagnes bordant Onas.
    - Pas le moindre Prince, ce village humain à belle est bien été décimé par des démons, regarder.
    Le capitaine lança un morceau d’étoffe à Calomel et celui-ci pus constaté avec amertume que du sang orange eût teinté le tissu, ce sang était celui d’un démon, impossible de se tromper.
    - Vérifions une dernière fois si quelqu’un à survécu et ensuite rentrons à notre cité. Déclara-il en déposant l’étoffe sur une tombe humaine prés de là.
    - À vos ordres Prince ! Le capitaine se pressa de donner les instructions et s’éloigna à la recherche d’hypothétique survivant.
    Déposant une gerbe d’orchidée sauvage sur la tombe d’un jeune enfant, le prince se releva et récita une prière aux dieux.
    - Quand je pense… Que c’est mon peuple qui est haï par les humains… Alors que nous les protégeons… Dieu miséricordieux... Pourquoi avoir affligé mon peuple de tout cela…
    Descendant vers le village en ruine, il découvrit une rose bleue sur une tombe… Caressant les pétales de la fleur, il susurra.
    - ashbenrenten… Sinquoren… Eldors.
    Et, d’un geste, il écrasa dans son poings la fleur, détruisant méticuleusement les pétales, effaçant toutes traces de ce qui avait été une magnifique rose, sur une tombe humaine.
    Voilà maintenant des siècles et des siècles que les Eldors et les démons se traquer l’un l’autre… Sans qu’aucun ne se trouve, les humains subissant les attaques de démons sans que les eldors ne puisse intervenir… Et cette fois ci encore ces maudits démons leur échapper. Calomel se pressa de rejoindre ses hommes et de chercher dans les décombres encore fumants des maisons de chaumes.
    Un cri d’enfants se fit entendre, un cri étouffé, la réaction du Prince fut fulgurante.
    Collant son oreille sur la roche, il étendit ses sens pour percevoir le moindre son, un cri de désespoir lui parvint de sous les décombres, un cri déchirant son âme.
    - Creuser ici, il y a un enfant coincer, je vais aller le rejoindre !
    - À vos ordres !
    Joignant ses mains, le prince changea d’aspect et se liquéfia pour s’insinuer dans les décombres. C’était un véritable labyrinthe, des poutres entravait son chemin, des roches brûlés par la magie noirs lui imposé des détours lui faisant perdre un temps précieux, le cri devenait de plus en plus faible, mais le désespoir n’avait jamais était aussi grand dans son âme, il ressentait la détresse de ce petit humains coincé. Chaque cellule en lui ressentait cette peur et ce désespoir. « Tient bon petit être… Tient bon ! »
    A force de patience et de persévérance, Calomel arriva a l’enfants, il devait avoir cinq ans, il était dans une cachette fermée de l’extérieur, traversant la parois pour voir l’extérieur, il vit le cadavre de l’humaine, broyé par une pierre tombé sur son dos, son visage déformé par la douleur et la tristesse. Le prince se rendit invisible en reprenant forme humaine et se hâta d’endormir l’enfant. Il ne fallait pas qu’il le voie utilisait la magie, les humains considérant comme maléfique tous ceux qui en user.
    -Shinraden… Bestora !
    Des nimbes noirs sortirent du sol et commencèrent à avaler les débris, dégageant peu à peu le passage à l’air libre, en moins de cinq minutes, une douce lumière envahis l’abri. Le capitaine se précipita dans la faille et déclara.
    - On à retrouver deux autres survivant, des enfants mon prince.
    - Très bien capitaine. Prenez l’enfant derrière moi, et avec deux hommes descendait les à Onas en utilisant le mensonge habituel.
    - Très bien mon prince.
    - Rejoignez nous aussitôt après à la cité.
    - À vos ordres.
    Calomel laissa au capitaine le choix des hommes et rentra avec sa troupe à la cité. Il se métamorphosa et des ailes de plume blanche comme de la nacre lui poussèrent dans le dos, deux ailes immenses, la troupe, a l’exception du capitaine et de deux hommes, prirent les airs, regardant une dernière fois en arrière un de ses soldats lui demanda.
    - Mon Prince… Pourquoi faire le jeu des démons et dire que les eldors sont la cause de ces massacres ? Nous pourrions leur dire la vérité…
    Calomel se retourna et répondit pour sa troupe d’une voix autoritaire, mais trahissant un soupçon de lassitude et de tristesse.
    - Non… Nous n’avons pas à impliquer les humains dans notre guerre contre les démons. Ils sont trop faibles et je ne veux pas porter le sang de millier d’humains sur mes mains car ils nous aideront, quoi qu’on leur dise. Mieux vaut qu’ils nous haïssent nous, au moins… Nous n’avons pas a nous inquiété d’une éventuelle attaque sur nos cités.
    - Mais Prince… Répliqua le soldat en cherchant ses arguments.
    - Il suffit ! Répondit Calomel aussitôt coupant court a la discussion. Telle est la volonté du roi et du conseil ! Vous le savez aussi bien que moi !
    - Bien mon prince… Répondit le soldat en baissant la tête.
    - Maintenant… Rentrons chez nous.
    D’un battement d’aile, les soldats et le prince se fondirent dans l’immensité du ciel.
    Alors qu’il se laissé plané sur un vents favorable, un chants commença a monté de la troupe, un chants funèbre, une oraison funeste de l’avenir et de la mort, un chants déchirant l’âme de tristesse. La lamentation des soldats en hommage a ses humains mort absurdement, fit que le prince prit par aux chants, mêlant sa voix forte et douce au son funèbre qui déchirait le ciel lui même.
    Le ciel encore une fois pleura…

    Quelques heures plus tard ils furent à la cité. C’était une île gigantesque où se trouver le palais des Dieux, à la fois la résidence de la famille royale, mais aussi le lieu où était rendu le culte des dieux et des lunes, un bâtiment mi temple, mi palais, les flèches s’élevaient en harmonie vers le ciel nimbé d’orange, de vastes et haut mur entourer la résidence des dieux et du roi. Et gravé a même le bâtiment, d’immense fresque obscur pour un humain représentait l’éternel combat des Eldors contre les forces des démons. Tout autour s’élevait la riche ville des Eldors, parer de couleur et construite avec délicatesse, le tout dans une volonté de fascination et de discrétion, certain bâtiment semblait flotter eux-mêmes dans le vide du ciel, et tous s’élancer vers le ciel, comme un hommage permanent a cette immensité qui leur servaient de refuge. Pierre et sa troupe se posèrent à la caserne située derrière le palais, Myosotis, la princesse des Eldors, revêtu d’une élégante robe de soie blanche paré de mille joyaux gravés de rune, coiffé d’une queue-de-cheval descendant jusqu'à sol et de sa boucle a cheveux, le symbole de son rang. Elle attendait dans les écuries, soignant une licorne noire à la crinière aussi blanche que la neige, elle se précipita vers son frère et tous deux s’enlacèrent. Si elle n’avait pas était sa sœur adoptée une centaine d’années plus tôt, il l’aurait volontiers embrassée.
    - Comment cela c’est il passer ? Le prince baissa les yeux et un air tristes teinta son visage.
    - Il n’y a que trois survivants, trois enfants, le reste du village a été décimé… Plus de trois cents personne… Laisse-moi s’il te plait… Je suis fatigué…
    Calomel repoussa doucement sa sœur et parti d’un pas las vers son appartement. Myosotis, le visage attristé resta sur place et regarda son frère s’éloigner. Un soldat qui avait surpris la conversation vint par là et déclara.
    - Altesse…
    - Oui soldats ? Le soldat hésita un moment et repris.
    - Princesse puis-je vous demandez quelque chose ?
    - Faites donc. Répondit Myosotis en reprenant l’assurance d’une princesse. Le soldat se mit à genou à côté d’elle et lui déclara.
    - Veiller sur le Prince, nous savons tous qu’il vous aime du plus profond de son cœur et qu’il en est de même pour vous. Alors veiller sur lui… S’il venait à craquer, les Eldors tomberaient pour de bon. Veillez sur lui.
    Puis le soldat se releva s’excusa et s’éloigna, laissant la princesse seule.

    Des ombres dansaient dans ses songes, partout on venait et l’on allait, mais nul visage, nulle musique ne venaient de ses mirages. Calomel allait et venait, voulant se l’expliquer, voulant trouver d’où venait cette obscurité. Puis il marcha, marcha d’un long pas, et au fur et à mesure de ses pas, le sol craqué. Et finalement les ombres disparurent, il se retrouva seul. Non… Au loin s’élever une frêle silhouette, de longs cheveux noirs, laqué descendait jusqu’au sol blanc comme neige, mais son visage demeurait obscur, caché par sa coiffure. Elle portait une longue tunique bleue comme l’azur, un châle d’un vert oppressant, et Calomel pris conscience de sur quoi il marchait, des cadavres par milliers, des squelettes à perte de vue, et quand la silhouette se retourna, il reconnut sa sœur Myosotis, ses trait délicats dessiné un visage pur, remplie de calme et d’amour, puis de sa délicate bouche s’échappa sa pensée. « Adieu Prince… »
    - MYOSOTIS !!!...
    Il était dans son lit, trempé de sueur, la main en avant, comme s’il avait tenté de rattraper ce songe, haletant, puis il reprit conscience de la réalité. Il était dans sa chambre, il faisait encore nuit et l’ombre couvrait les fines gravures de ses exploits de guerre accroché à son mur, et avec la faible lueur de la lune d’or au-dehors, il pus voir en face de lui son étagère où s’entassait nombre de livre et nombre d’objet ramassais au cours de sa longue vie d’Eldors de plus de trois âge, et aussi de nombreuses autres choses. Le jour était encore loin, encore secoué de ce rêve secouant ces courtes nuits, il enfila sa tunique de nuit et sa boucle a cheveux et sortit de sa chambre, une chandelle à la main, le couloir était désert, et du pied, Calomel foula le doux tapis de laine tressé de discret motif. Marchant d’un pas léger, il gagna les jardins et une fois au-dehors pus profiter d’une plus douce lumière. Les jardins étaient parsemés d’arbres fruitiers et de buissons doux comme de la soie.
    Avec un calme serein, il fit quelque pas dans l’herbe fraîche parmi les cerisiers en fleurs et les autres arbres qui n’avaient pas encore fleuri, et laissant flotté sa main libre il caressa doucement les feuilles d’un doux buisson, et songea amèrement qu’en ce moment, il était en guerre. Depuis des siècles, il n’avait cessé de repousser les hordes du monde des ombres, et cela même en restant dans l’ombre des humains, obligé de ce caché depuis qu’avec les dragons, ils avaient perdu leur autorité sur les hommes, depuis que le conseil avaient décidé de mettre toutes ces horreurs sur le dos des eldors. Mais, il oublia bien vite ses sombres pensé quand il vit le plus bel arbre du jardin, un vieux chêne de plus de 6 âges, plantés par les anciens esprits dans cette cité qu’aucun mortel n’avait vue. C’était un arbre qui dégageait une volonté de vivre sans faille, et malgré tout ses millénaires, il continuait de fleurir. Et il resta une bonne partis de la nuit à contempler cet arbre, apaisant sa peur, soulagent ses doutes, et purifiant son esprit… Il en avait besoin, plus que jamais. Aux alentours de l’aube, il entendit des pas venir vers lui, des pas délicats à peine perceptible dans l’herbe fraîche avec la rosée. Se retournant doucement, il vit Myosotis dans une robe de chambre Outremer, ses cheveux n’étaient pas attachés en queue-de-cheval et descendaient jusqu’à ses chevilles, elle était emmitouflée dans un châle d’azur, on aurait dit une nymphe marchante d’un pas insouciant dans une clairière semée d’arbre. Quand elle le vit, elle marcha d’un pas tranquille dans sa direction et s’assis à côté de lui dans l’herbe. Elle demanda d’une voix douce.
    - Tu est là depuis combien de temps ?
    - Cela ne fait pas longtemps, cinq minutes tout au plus, mais toi, pourquoi viens-tu si tôt ? Myosotis pris le temps de considérer sa réponse et d’un geste souffla la chandelle presque morte que Calomel avait amenée.
    - Le temps passe inlassablement, et certaine chose ne ment pas, dit myosotis en ramassant la chandelle, cette chandelle à brûler et brûler durant cette nuit, et je crois comprendre à sa longueur, que tu n’as guère dormi… Toujours ce cauchemar mon frère ? Soupirant, il s’étonna de sa propre bêtise, il aurait dû s’en souvenir, Myosotis devinait aisément ses pensées.
    - Oui… Voilà maintenant des mois et des mois qu’il m’assaille sans relâche. Même pour un Eldors cela n’est pas normale. Et de toute façon je suis las. Nous Eldors, autrefois peuple si fière, peuple si puissant, nous voila obligé de nous caché, jetés dans l’opprobre par ces mensonges, jeté dans la haine par la décision du conseil. Je suis las… J’en ai assez de vivre et de voir tuerie jours après jours, même s’ils ne font pas partie de mon peuple, j’ai peine pour eu, et je sais que cela ne m’avance pas à grande chose, mais que veux-tu… Je ne peux m’opposer au conseil sciemment, quoi que je fasse… Je suis prince, aucunement membre du conseil… Astera vena…
    Myosotis soupira et resta assis un moment avec lui, elle savait son frère lassé de se battre, lassé d’être obligé de se cacher du monde. Lassait de vivre… Elle soupira de nouveau et sans qu’il s’y attende, elle l’enserra dans ses bras, et lui murmura doucement à l’oreille.
    - Oublie vite ses mauvais songes mon frère, je sais que tu ne supporte plus de nous voir hait par les hommes, je sais que tu ne supporte plus de devoir te cacher, de devoir traquer un ennemi invisibles et qui te nargue par toujours plus de tuerie, je sais tout cela… Mais je veut aussi que tu sache…Tu a veillé sur moi quand vous m’avez recueilli… Moi unique survivante de la cité de la faille noire, tu m’as redonné le goût de vivre, le goût de la vie, sans toi… Tu le sais mon frère…Je n’aurais pas hésité à signer mon pacte…Si tu n’avais pas était la pour moi. Maintenant, c’est à moi de veiller sur toi, c’est à moi de te redonner l’espoir dont tu a besoin… Et je le ferais, tu le sais autant que moi.
    Calomel posa sa main sur le bras de Myosotis et la remercia, la simple faite d’être avec elle l’aider à rester dans ce bas monde.
    Sanaren
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    Message  Sanaren Jeu 26 Fév 2009 - 20:20

    Plus tard dans la journée, le prince s’entraînait avec Volubilis, le garde du corps de Myosotis et son ami.
    Ce dernier, par habitudes prenait les trait de Myosotis, jouant son double lorsque la princesse devait se montrer a des endroits dangereux, Calomel appréciait cet eldors, son art dans la forge était inégalé et c’était un ami fidèle, le prince pouvait comptez sur lui et les liens de l’honneur qu’ils avaient tissé ensemble était incassable. En cela, Calomel l’appréciait vraiment, il n’avait pas besoin de faux-semblant comme a la cours pour lui parlé, tout était franc, direct.
    Les épées voltigeaient en tout sens et s’entrechoquer sans relâche, chacun tentant de prendre le dessus sur l’autre. Le combat allié à la fois, force, dextérité, et souplesse. Pour tout œil expert, ce n’était plus un combat véritablement dit, mais un extraordinaire ballet où chaque pas était calculé, chaque mouvement anticipé et chaque geste quasiment programmer. Ce combat fut interrompu par l’arrivé d’un messager.
    - Prince ! Prince ! Le roi, votre père vous fait mander en hâte, il veut vous voir le plus rapidement possible ! Calomel hocha de la tête et lança à Volubilis.
    - Nous reprendrons le combat une prochaine fois mon ami.
    - Ce sera avec joie mon Prince. Répliqua poliment Volubilis en s’inclinant comme un noble.
    Calomel lui adressa un dernier salut et se pressa de rejoindre son père dans la salle des mille reflet de l’âme. C’était une vaste salle où d’indénombrables colonnes mener au trône des éternels, les colonnes étaient gravées d’une quantité de récits épiques et lyriques, qu’une seule vie humaine n’aurait pu les compter. Le sol refléter une pâle lumière, car ce qui semblait être un sol était une immense vitre sous laquelle se trouver près d’un metecos d’eau aussi pur qu’un nouveau-né. Le trône des éternels s’élevait devant une vaste tapisserie représentant des Eldors triomphant de démons, le trône était orné de mille joyaux gravés d’enchantement et de chanson à la gloire des dieux. Et assis dessus, son père Valastira, le souverain de tout Eldors sur ce monde, le plus grand et le seul que son peuple est jamais eu. Un homme aussi juste et droit que l’était les anciens esprits aujourd’hui disparu, et aussi beaux que l’aurore du monde. Derrière lui se tenait sa mère Cirana, une femme dont la beauté n’était surpassée que par les dieux eux-mêmes, et dont la pensée était aussi grande que l’esprit de la sagesse lui-même. Tous deux portée l’habit impérial, une longue cape traînant sur le sol dont le tissu semblait se mouvoir sans cesse pour reflétait l’esprit o combien subtiles du roi et de la reine et une longue tunique brodée de mille mot de sagesse et de magie, ainsi que les boucles a cheveux de plume d’or, un des nombreux symboles de leur royauté.
    Calomel s’avança humblement, posa sa main droite sur son cœur, et s’agenouilla avant de prononcer dans un murmure à peine audible.
    - Votre fils, prince des Eldors se présente humblement devant vous, puisse votre sagesse éclairer mon jugement et mes pas.
    - Relève toi mon fils. Déclara son père sur un ton d’une gentillesse incomparable. Calomel une fois debout demanda humblement.
    - Vous m’avez fait mander père ?
    - Oui, comme tu doit le savoir, de nombreuses activité démoniaques ont été détecter de par le monde, nos cités nomades sont débordées par toute ces failles, ta mère et moi même avons décidée de convoquer le conseil extraordinaire afin d’avisez sur ce que cela impliquerait pour nous, si nous devons continuez a protéger les humains alors que notre propre peuple est presque prisonnier entre ses propres murs… Pierre considéra grandement les paroles de son père et répondit.
    - Altesse… Je me doit de vous mettre en garde si une telle décision devait prendre effet, les mensonges utilisé par le conseils ont jeté les eldors dans la haine de la race humaine, si nous abandonnons les humains, et leur donnons une preuve de ces mensonges, aucun retour a des relations durable ne sera possible, vous le savez altesse. Sans oublier que cela donnerait un points d’attache au démon dans notre monde. Un danger de plus qui nous exposerait trop directement, vous le savez altesse.
    IL n’y avait aucun reproche dans la voix du Prince, juste un respect sans faille envers son père et le roi.
    - Je le sais mon fils… Je suis du même avis que toi, tu le sais, mais le conseil ne l’entendra pas de cette oreille, aussi j’ai quelques choses à te dire.
    Mettant un genou a terre Calomel demanda humblement.
    - Quelle est t’elle majesté ?
    - Je vais nommer Myosotis conseillère de cette cités.
    La nouvelle fit l’effet d’une bombe dans le cœur de Calomel.
    - Cela…Cela voudrait dire rompre tout contact… Ne plus la voir, ni lui parlait, durant 500 ans, comme si elle n’avait jamais existé… C’est cela père ? C’est cela que vous me dites ? répondit le prince sur un ton sans émotion, masquant toute la tristesse que cela impliqué de renier sa sœur d’adoption.
    - C’est bien cela mon fils…
    Le roi marqua une pause, reprenant son souffle.
    - Je savais que tu ne serais pas de mon avis, cependant le devoir passe avant l’amour, et que ton esprit garde cela en tête, elle ne sera jamais que ta sœur ! Pas une eldorienne que tu pourrais épouser… Nous savons que tu l’aimes mon fils, et cela nous chagrine de devoir t’obliger a accepté cela.
    Calomel se doutait que son père le savait, mais qui ne le savait pas dans la cité ? tel était plutôt la vraie question.
    - Non majesté… Je ferais mon devoir, même si mon amour pour elle doit se taire a jamais. Le devoir avant tout…
    La reine qui était resté en retrait intervint dans la discussion, ses mots frappés toujours justes, sa parole était comme une goutte d’eau, impossible a transpercé.
    - Mon fils… Tu est pour nous encore un enfant qui doit grandir, quelqu’un qui n’a pas encore le poids du pouvoir sur les épaules. Cette décision est notre, et la princesse Myosotis a déjà donné son accords. Et je te prie de croire qu’elle aussi pensé a ton bien être, mais son devoir est de se plier a notre décision, tout comme toi notre fils légitime, futur héritier du trône.
    Calomel ouvrit grand ses yeux, une nouvelle pareille le laissé sans voix, il n’avait pas pensé a cela. Myosotis avait accepté… Il ne pouvait plus rien dire.
    - Majesté…
    - Cesse de nous appeler ainsi mon fils, tel est la décision du roi, et le conseil lui-même devra s’y plier. Lança la reine sans la moindre animosité.
    - Mère…
    Le prince sentait que sa tristesse atteignait des bornes qu’il n’avait pas lui-même soupçonnées, comme si un gouffre sans fonds venait de s’ouvrir sous ses pieds. Il aurait donné son immortalité pour que cela ne soit pas… Mais il ne pouvait se rebeller, il devait plier, pour le bien de son peuple et des humains.
    - Je ne peux m’opposé à vos ordres majesté… Qu’il en soit ainsi.
    Serrant les dents, il donna à contrecoeur son approbation, scellant pour lui-même une période de 500 ans sans sa sœur pour le soutenir... En penser il maudissait cette loi obligeant les conseiller à vivre loin de leur famille, à couper contact avec eux pendant leur régence. Oui, il la maudissait.
    En guise de réponses, le couple royal se leva et vint serrer son fils dans ses bras avant de lui dire.
    - Mon fils… Notre seul héritier. Jamais tu ne dois laisser ton cœur s’assombrir, tu n’es que prince, mais tu es la personne que les eldors adule, tu es les vents du combat, tes faits d’arme raisonnent partout à travers le monde. Si tu laisse le désespoir assombrir ton cœur, qui mènera nos troupes contre les démons, quand ils cesseront de se jouer de nous si ce n’est toi ?… Déclara le roi en parlant de telle façon qu’aucune discussion n’était possible.
    Refusant de serrer ses propres parents dans ses bras, le prince se retira et s’inclina gracieusement.
    - Qu’il en soit ainsi altesse… Vous me privez de mon appui… Dés maintenant, je ne suis plus votre fils… Je ne serais que le prince des eldors. Adieu majestés !
    Se retournant dans un souffle et retenant son envie de hurler il sortie de la salle du trône, et se mit a courir dans les corridors, cherchant quelqu’un en vain à qui s’adresser, ses propres parents, sa propre famille, lui enlever toute raison de vivre dans ce monde.
    Passant au hasard des couloirs, il arriva devant sa sœur. Cette dernière n’eut pas le temps de l’arrêter, et aux pieds de la princesse, une rose bleue poussa du sol de marbre. D’un souffle a peine audible, la princesse laissa un mot s’échapper de ses lèvres.
    - Calomel…

    Volubilis avait bien besoin de cela, le prince après une entrevue avec son père avait disparu du palais. Voilà 5 jours qu’il n’avait pas reparu, tous les courtisans, depuis le plus humble serviteur jusqu’au plus noble recherché le prince des eldors, le commandant en chef des armés, avait disparu du palais.
    Soupirant de dédain, Volubilis se trouva un coin d’ombre, vérifiant d’un œil avisé que personne ne le voit. Il se fondit dans le marbre du palais et se déplaça dans la pierre, cherchant l’endroit où le prince disparaissait quand une nouvelle le bouleversait ; une cache, sous les toits connus de lui seul et du prince.
    Se mêlant a la roche, Volubilis évolua rapidement dans le matériau, évitant d’apparaître en plein milieu d’un couloir. En moins de temps qu’il ne le crut, il arriva dans la cache du prince, c’était une pièce sans porte, pourvu d’une unique fenêtre sous les toits, qui éclairait misérablement un bureau de travail fonctionnel. De par et d’autre de la pièce ronde d’une vingtaine de mètres de diamètres, des étagères, remplie de livres presque aussi vieux que les eldors, des milliers d’ouvrages traitants de tous les sujets. Un escalier de quelque marche descendait à une étendue d’herbe, alimentait par l’eau de pluie, s’y trouvait un bassin de deux ou trois mètre de diamètres, l’eau était d’une limpidité troublante, quelques choses dormaient dedans. Une voix s’éleva du bassin.
    - Pff… Tu est venu me trouver jusqu’ici.
    Volubilis s’agenouilla près de l’eau, une forme humaine prit forme du ruisseau, indistincte, parcouru de sensation brute, le prince s’était mêlé a l’eau. Sûrement pour trouver un peu de quiétude et prendre un peu de recul pour réfléchir.
    - Mon prince… Voilà maintenant 5 jours que tout le palais vous cherche, ne serais t’il pas temps de regagné votre place ?
    Calomel sous sa forme aqueuse ne pu empêcher un trouble secouer son corps liquide, une colère sourde dormait encore en lui.
    - Volubilis, voilà près de 4 ages que je suis le prince des Eldors, je suis le général en chef des armées, l’eldor qui est sans nul doute le plus puissant sur Onastia, et je dois toujours me plier aux ordres de mon père, aux ordres du roi !
    Volubilis sentait tout le ressentiment du prince envers son père, il ne lui pardonnerait pas, du moins, sa rancune pourrait courir durant un age si t’elle était son désir… Les Eldors était aussi long a pardonné que prompts a s’emporté a la colère. Volubilis le savait et décida de jouer une autre carte.
    - Prince.. Que penserait Dame myosotis de votre attitude ?
    La réaction de Calomel fut immédiate, mais ce ne fut pas celle à laquelle Volubilis s’attendait.
    - Ne t’avise plus jamais de cité ce nom devant moi ! ELLE M’A TRAHIS !
    Sentant la colère du prince proche, Volubilis décida tout de même de continuer, lui seul pouvait raisonner le prince.
    - Prince, elle remplie son devoir, devrais-je vous rappelez qu’elle n’est que votre sœur d’adoption ? Et pourtant elle remplie son devoir comme l’aurait fait une vraie princesse. Et vous qui êtes de sang royal vous ne pouvez comprendre cela ?
    Volubilis redouta que le prince ne s’évapore pour de bon et décide de partir mais ce dernier resta là, attendant visiblement qu’il continue.
    - Elle est aussi peinée que vous de devoir couper les ponts avec sa famille, avec vous mon prince ! Imaginez sa détresse, de savoir que vous avez disparu, mais privé du droit de vous chercher, privé de votre présence, comme vous êtes privés de la sienne.
    Volubilis sentait qu’il touchait au but, mais sans crier garde, la forme indistincte du prince s’écroula sur elle-même, regagnant le bassin ou l’eau retrouva sa limpidité. La voix de Calomel s’éleva, mais il put sentir dans le timbre de celle-ci le regret et la honte d’avoir réagi comme un enfants.
    - Une fois de plus…Tu a raison mon ami, tes paroles sont beaucoup plus justes que mes émotions, mais devrais je vivre sans elle ? Je ne suis plus rien qu’un eldors brisé sans elle.
    Tu le sais mon ami, omen hay… De tout mon cœur, de toute mon âme, je l’aime à en devenir fou, et sa présence seule suffisait a apaisé ma fougue… Me rappelant sans cesse qu’elle est ma sœur d’adoption, que jamais je ne pourrais lui demander sa main.
    La voix du prince était remplie d’un sentiment de tristesse si profonds que Volubilis ne pouvait que comprendre sa détresse. Le prince se sacrifiait chaque jour pour son peuple, donné toute son âme à le protéger, à accomplir son devoir, et voilà qu’on lui retirait son seul appui, sa seule jouissance dans ce monde, Volubilis ne pouvait que comprendre son appel a l’aide.
    - Prince… Dame myosotis n’est pas encore conseillère, elle ne le sera que demain, viendrez-vous la voir une dernière fois ? Ou resterez enfermé dans votre tour ? Tous vous cherchent mon prince, tous s’inquiètent pour vous. Nous ne sommes plus rien sans vous ; vous seul avez la force et la sagesse de nous guider aux combats. Et les démons profiteraient de votre absence s’ils le savaient.
    - Cesse ces éloges mon ami… Je viendrai à la nomination de Myosotis, même si cela risque de me brisé définitivement. Et malgré cela… Devrais-je vivre pour voir encore et toujours la guerre ? Devrais-je vivre pour mon peuple et jamais pour moi ?
    Calomel se matérialisa dans le dos de Volubilis.
    - Vous êtes notre prince Altesse… Nous vous suivrons, partout où vos lames porteront le combat aux démons.
    Le prince posa la main sur l’épaule de Volubilis et le pria de se relever.
    - Aounaden Volubilis.
    - Shitori whiren besrato.
    Puis ils se donnèrent l’accolade, Volubilis était l’un des rares à pouvoir approcher de si près le prince.
    - Maintenant mon prince, votre père, le roi vous prie de lui pardonné, et d’accepter de mettre au courant les 5 grands conseiller.
    Calomel eut un mouvement de recul, bref, mais instinctif. Ces 5 grands conseillers, il ne pouvait les supporter, ce n’était que des politiciens, ne réfléchissant que pour garder leur poste. Même chez les eldors, la stupidité et la corruption étaient monnaies courante chez les personne disposant d’un certain pouvoirs.
    - Ces sangsues… Accroché au pouvoir, c’est tout ce qu’ils sont. Mais si tel est mon devoir… Soit. Mène-moi a mon père.
    Se mêlant tous deux au marbre quittant la chambre secrète, Volubilis ne pu s’empêcher de lâcher un soupir de soulagement. Il avait été à deux doigts de provoquer la colère du prince.
    Le dernier qui l’avait courroucé avait simplement et purement disparu dans un cri effroyable..
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    Message  Sanaren Jeu 26 Fév 2009 - 20:22

    Dans la chambre des éternels, Le roi en présence de son fils avait convoqué les 5 grands conseiller, 5 Eldors élues par le conseil pour le représenté durant 1000 ans auprès du roi en dehors des conseils.
    Calomel n’appréciait pas particulièrement ces conseillers, il avait la politique en horreur et ces Eldors étaient parmis toutes la chambre du conseil, les plus rusés, usant de tout leur art dans la manipulation, dans la flatterie, les menaces et d’autres procédés tous aussi éhonté les un que les autres.
    Leur visages reflétaient parfaitement cette malice presque vicieuse, au service des politiques qui voudrait prendre la place du roi.
    Tous portés la livret du conseil, une toge de couleur rouge rubis, comme le reflet d’une lune sanguine dans une aube malveillante, ornés d’un hémicycle vantards.
    Les cinq Eldors se mirent à genou, Calomel pu les reconnaître un a un.
    Sur la gauche, il y avait Ziwia, un Eldors encore jeune, a peine 1000 ans, son visage ne reflétait pas particulièrement de mauvaises intention, mais son sourire suffisait a lui seul a incité le prince à se méfier de lui, sa langue était aussi bien pendue que son scrupule inexistant.
    A côté de lui, Narcisse, un jeune lui aussi, son sens de la flatterie lui avait permis de s’élever jusqu'à ce poste d’importance. Mais les cicatrices sur son visage, preuve d’arme d’âpre combats montrer qu’il ne reculait devant rien pour s’imposer.
    Au centre il y avait respectivement Coldrique, Liseron et Shunren, tout les trois étaient frères d’une famille noble, leur intimité les rendez dangereux en politique, leur éducation leurs permettant de tissé de complexe réseau de confiance, et il avait réussi à se hisser tout les trois a ces postes.
    Le prince, bien que plus vieux d’au moins 1000 ans qu’eux, n’avait pas autant de pouvoir qu’eux, leur décisions au conseils trouvé toujours nombre d’écho favorable, ce qui cette fois ci risqué de mener les eldors dans les bas fonds de l’histoire, de les maudire pour plusieurs age avant que les humains ne pardonne et comprenne.
    - Vous nous avez fait mandé majesté ? Demande Shunren.
    Le roi regarda son fils qui d’un signe de tête l’encouragea a leur parlé.
    - Conseillers, comme vous le savez depuis quelque heures, une séance extraordinaire du conseil aura lieu dans 1 semaines, pour débattre de la questions des humains.
    Liseron prit la parole.
    - majesté, notre peuple ne peut plus intervenir partout, les attaques des démons menacent de submerger le monde des humains, et si nous n’y prenons pas garde, tout notre peuple risque d’en pâtir.
    Coldrique continua.
    - Nos forces sont dispersées, chaque contingents est trop isolé des autres pour qu’en cas d’attaque nous ayons la force des les repoussés. Nous devons et avons le devoir de retirer notre protection au humains, il en va de la survie de notre peuple majesté.
    Le roi prit une mine sévère, exempt de sentiment personnel et répliqua.
    - La question en sera débattue au conseil extraordinaire, ainsi que nous l’avons décidée.
    Calomel croisa le regard des trois frères et savoura d’un léger sourire leur déboire, ils espéraient tout les trois raisonné le roi pour qu’il décrète l’abolition de cette protection.
    Narcisse prit la parole.
    - Votre sens de l’équité est immense majesté, nous nous plierons a vos directive.
    Sifflant entre ses dents, le prince enchaîna.
    - Conseillers, un nouveaux conseillers siégera au conseil a partir de demain.
    Les 5 relevèrent la tête apparemment surpris, mais pas totalement, ils devait s’attendre a cela.
    - Pouvons-nous avoir connaissance de son nom Prince ? demanda Ziwia.
    - IL s’agit de Dame Myosotis.
    Cette fois si, la stupeur pus se lire sur les visages des conseillers, ils n’avaient sûrement pas envisagé qu’il s’agirait d’elle.
    Ziwia reprit la parole.
    - Le choix de Vos Altesses est… Incongru, Dame myosotis est princesse des eldors, nos lois ne peuvent permettre à un membre de la famille royale de siéger aux conseils. Sans comptez qu’un antique sortilège interdit au sang royal de pénétré dans l’aile du conseil.
    Avant que le roi ne reprenne, le prince se contenta de lâcher un rire sans joie.
    - Conseiller Ziwia, vous dites vrai, les lois sont ce qu’elle sont, et le sortilège est infranchissable. Mais a un point de détail prés, Dame myosotis n’est pas la princesse des eldors, elle n’est que ma soeur d’adoption, et au regards de la loi, parfaitement apte à siéger au conseil, avec toutes les contraintes que cela suggère.
    Les conseillers sifflèrent entre leurs dents, ils avaient oubliés que la princesse n’était pas de sang royal, et de ce fait si elle était reniée pouvais accéder a ce poste sur demande du roi.
    - Nous en prenons acte Vos Altesses, nous nous chargerons de la guidé dans la chambre du conseils si vous en faites la demande. Répondit aimablement Narcisse.
    Le roi continua, la mine toujours sévère, comme il sieds a une personne de sa stature.
    - Cela ne sera pas nécessaire, Dame Myosotis connaît la chambre du conseils. Maintenant allé convoquer les conseillers des cités éloignés, le conseil aura lieu dans 1 semaines quand les 4 lunes seront pleine. Nous la nommerons conseillère demain a midi devant le peuple réunis.
    Les 5 conseillers se relevèrent et s’inclinèrent devant leur roi avant de dire en choeur.
    - Ainsi soit il majesté. Puissent les lunes et les dieux dans leur infinie bonté veiller sur vos jours.
    Puis tous les 5 tournèrent les talons et s’en allèrent en claquant la porte de la salle du trône.
    Le roi se tourna vers son fils et lui dit d’une voix forte.
    - Bien, ceci étant fait mon fils, je tiens à te rappeler que je suis encore le roi, ne l’oublie pas.
    Le prince se mit à genou prés du roi et lui dit.
    - Veuillez me pardonner père… La vue de ces 5 conseillers me met hors de moi, je tacherais de ne plus vous être impudent. Et… Je vous prie de me pardonner d’avoir disparu ces derniers jours… Je devais me retirer, au calme.
    Son père se leva et se contenta de lui posé une main sur l’épaule avant de sortir par-derrière son rideau.

    Le lendemain, Calomel en compagnie de Volubilis pu constater que depuis son entrevue avec le roi, les préparatifs pour la nomination de Myosotis au conseil avait mis sens dessus dessous le palais. Partout les servants s’activaient au dernier préparatif pour la cérémonie, la salle des nominations avait revêtu les couleurs du conseil. Le trône du roi ayant changé de place pour se placer sur l’estrade de cette salle où le conseiller pouvait une fois par siècle voir leur famille l’espace de quelques heures.
    Gagnant le balcon donnant sur la principale avenue de la capitale, il pouvait voir que son peuple s’amassait, les crieurs avaient bien remplie leurs offices, tout le peuple de la capitale se trouvait en contrebas sur l’immense avenue dallée. Le ciel était d’un bleu limpide, à l’ouest, Calomel pu distinguer l’île des esprits, le lieu mystique où les 5 grands esprit avait vécu. Et ou lui-même avait pu leur demander audience. C’était il y a si longtemps.

    S’apprêtant à revêtir la tenue du prince des eldors, lui qui avait pour habitude de toujours se déplacer dans des atours plus légers et fonctionnel, Calomel entendit quelqu’un frapper a sa porte.
    - Entré.
    Myosotis entra dans la chambre et prit soin de refermer la porte en regardant si personne ne l’avait vu.
    Le prince se contenta de cacher sa tristesse et sa colère, portant un visage neutre, mais son silence suffit à lui seul a donné son avis sur ce qui allait se faire dans les minutes qui suivent.
    - Calomel… Je profite de mes derniers instants de liberté pour te donner quelques choses.
    Myosotis sortit de sa manche, un tube de verre contenant une rose bleu outremer.
    - Mon frère… J’ai toujours vu en toi quelqu’un d’une force inimitable. Quelqu’un de si fort qu’il sacrifie son bonheur pour celui des autres, qui n’a besoin que d’une chose pour vivre. Mon frère… Je te demande pardon pour cette trahison… je te demande pardon de t’abandonner alors que la guerre contre les démons ne cesse. Pardonne- moi de devoir t’abandonné…
    Sans qu’elle ne s’en soit rendu compte, myosotis s’était mis a genou, front contre le sol, pour l’implorer. Elle savait ce qu’elle lui retirait et cela la hanterait jusqu'à ce qu’elle recouvre sa liberté.
    Toujours sans un mots, Calomel ramassa le tube contenant la rose et la porta à la fenêtre, une légère brise lui caressa le visage. Ouvrant délicatement le tube, et posant la rose dans sa main, il prononça un simple mot.
    - Thesra…
    La main du prince se mit à flamboyer, et la rose partit en une fumée noire, les vents emportant les cendres de cette fleur. Il reprit sur un ton sans la moindre émotion, sans la moindre animosité.
    - Ma sœur… Pourquoi devrais-je pardonné ce qui n’est pas a l’être ? Astera vena…Le roi a décidé cela pour le bien de notre peuple et pour celui des humains. Mais si tu le désir tant… Aounaren Myosotis.
    Cette dernière savait que son frère parlait ainsi pour dissimuler ses propres émotions, pour caché son envie de hurler sa tristesse. Digne elle se releva et vint prendre son frère dans ses bras.
    - Tu n’a pas à avoir honte mon frère… Tu n’a pas à avoir honte de tes sentiments… Omen en… Tu le sais… Mais pour qu’un jour nous puissions le vivre pleinement… nous devons nous pliez à la loi…
    N’en disant pas un mot, sentant cette frêle silhouette se blottir contre lui, cette femme qu’il aimait malgré tout, tout ce qu’il put faire pour lui répondre, c’était de lui laisser une caresse sur la joue… Douce et remplie d’amour.
    - Nous devons y aller maintenant. Répondit-il finalement, dissimulant toujours sa douleur, quoique son visage trahisse son inquiétude et toujours cette tristesse dont il ne pourrait se débarrasser pendant quelques siècles.
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    Message  Sanaren Jeu 26 Fév 2009 - 20:25

    Le peuple de la capitale était maintenant aux pieds du palais, canalisé par les soldats.
    Le roi donnait des nouvelles de la guerre à son peuple, lui expliquant les choix fait, les décisions prises par le conseil et lui-même. Les clameurs de la foule lui donnaient presque toujours son approbation, malgré quelque voix qui s’élevait contre lui.
    Calomel dans sa tenue de prince, un kimono noir de jais, parcouru de flamme blanche comme la neige ; et le symbole du prince, une broche représentant un serpent ailé, ceint sur son front comme un serre-tête.
    Derrière lui se trouvait Myosotis, elle avait revêtu la tenue du conseil, la toge rouge avec le symbole du conseil. Et enfin Volubilis, toujours dans sa tenue de garde, Calomel ne l’avait que très rarement vu sans sa tenue de guerrier. La voix de son père le tira de sa rêverie.
    - Eldors ! L’heure est grave, les attaques des démons sur le peuple des hommes sont une insulte à notre race, de tel massacre ne peuvent rester impunies ! aussi le conseil devra se réunir dans une semaine. Pour décidée si nous continuerons à protéger les hommes qui nous haïssent. Et je vous l’annonce mon peuple, un nouveau conseiller plaidera la gloire de notre peuple.
    Calomel ferma les yeux un bref instant… Reprenant son calme, cherchant un appui sur lequel il pourrait se reposer. Mais rien… Il n’y avait plus rien pour qu’il puisse se soulager.
    Avançant dignement, il sortis a la lueur de l’étoile Solaire.
    L’avenue s’étendait à perte de vue, donnant sur le ciel lui-même a sa toutes fin. De par et d’autre de cette étendue remplie par la foule, les maisons pointaient vers le ciel, ça et là s’élevaient les fumées des forges et des auberges. Les étales des marchands bordant presque toutes les maisons. La ville était un magnifique exemple de la magnificence des Eldors, les bâtisses ne s’ouvraient ni ne se fermait jamais, elles étaient en parfaites harmonies avec le ciel. C’était pour cette magnificence qu’il se battait, qu’il renonçait a sa sœur…. À son amour.
    La foule l’acclama à sa vue, de tous les eldors, il était bien le plus adulé, lui…Le prince eldorien, le combattant inflexible, semant la mort dans les rangs de l’ennemi, pleurant ceux qu’il n’avait pu sauver de ses mains. Le général en chef des armés. C’était bien lui… Calomel.
    Levant une main pour demander le calme, la foule s'apaisa presque instantanément, plus rapidement que si ça n’avait été son père qui l’avait demandé. Ce dernier lui lança un regard empreint de compassion et de force. Il devait le faire, pour le bien de son peuple.
    - Eldors ! l’heure est grave en effets… À l’heure ou nous parlons, des démons sème mort et désolation sur Onastia. Ces démons s’en prennent aux humains et nous narguent jour après jour ! Cela ne doit plus être ! Cela ne sera bientôt plus ! Le conseil votera ce qui doit être fait.
    Marquant une pause, il continua moins fortement.
    - Beaucoup d’entre vous voudrait retirer notre protection aux humains, beaucoup estime que nous devons penser a nous, a notre survie… Mais que se passera-il après ? Que ferons les humains une fois qu’ils auront découvert que nous les avons laissés ! jetés dans les ténèbres par des mensonges, nous sommes devenu le rempart des hommes, leur cachant l’existence même des démons ! Et si nous retirons notre protection sur ce peuple ? que se passera-il ?
    Reprenant plus fort il lâcha.
    - Cela ne sera plus la guerre contre les démons… Mais contre les humains ! Est ce que vous voulez !?
    Une grande clameur désapprouvant cela s’éleva, le peuple était en accord avec lui.
    - Eldors ! En ce jour voici le conseiller qui défendra notre honneur ! Voilà le conseiller qui maintiendra les Eldors dans la lumière et qui sauvera notre peuple de cet avenir qui pourrait nous desservir.
    D’un geste, Calomel indiqua le rideau de soie qui dissimulait myosotis.
    Cette dernière avança dignement, découvrant son visage a la foule. Un sentiment d’étonnement s’éleva. Puis des voix s’envolèrent.
    - Dame Myosotis !
    - Bon choix mon prince !
    - Dame Myosotis ! menez nous à un avenir radieux !
    Et la foule se mit à acclamer sa sœur…
    Ainsi le peuple l’approuvé… Peu être en était-il mieux ainsi.

    La cérémonie qui s’en suivit dans la salle des nominations fut des plus dur a supporté pour Calomel, voir celle qu’il aimé prendre entre ses mains la livret du conseil, juré sur les lunes et les dieux qu’elles servirait, qu’elles serait la voix des eldors, celle qui porterait l’avis de la capitale sur ses épaules… Et quand vint le moment où Myosotis s’apprêtait a pénétrer pour 500 années l’aile des conseillers. Calomel était déjà parties… Brisé par ce qui allait devenir une période de 500 ans de douleur et de tristesse.

    Une semaine passa dans la cité, Calomel passait le plus clair de son temps à jouer de l’épée, cherchant sans cesse à s’occuper l’esprit, pour ne pas avoir a pensé. Volubilis, bien que garde du corps de Myosotis, avait sur ordre de cette dernière, la charge de veiller sur le prince et de lui procurer de quoi s’occuper pendant les longues journées qui précédaient le conseil extraordinaire. Tous les jours, des délégations de conseillers arriver. Certain fonctionnel, d’autres sortant les flatteries et les tambours pour des arrivées plus bruyante qu’utile.
    Du fait de sa fonction de prince, Calomel devait en compagnie de son père accueillir les conseillers, puis les mené dans l’aile du conseil.
    Calomel ne pouvait entrer dans cette aile, des sortilèges faisant vivre la cité lui interdisait de rentré dans ce périmètre…Son propre sang avait servi à élaborer le sortilège, quiconque de sa famille possédant ce sang voulant entrer dans l’aile du conseil, ne pouvait que se heurter a un mur si dur, que même les pierres de diamant n’auraient pu entailler cette magie.
    Pour l’heure, après avoir accompagné la conseillé de la cité de la faille d’orient, il repartis en direction des forges, Volubilis lui avait demandé de venir l’aider. Ce dernier travaillait actuellement sur une paire de sabre dans un matériau particulièrement rare et précieux a façonné.
    Marchant d’un pas assuré sans prendre le temps de saluer les courtisans qu’il croisé, il se rendit à l’esplanade de guerre, les forges se trouvaient dans une alcôve aux pieds du palais.
    Il pouvait déjà sentir la chaleur des forges jusqu'à lui, il était pourtant a encore une bonne distance de son arrivé.
    Arrivé là-bas, il pu s’enquérir d’un jeune eldors qui le guida a travers les forges, les foyers rougeoyant de flamme prête à avaler tout ce qui passerait a porté de leurs langues.
    Les bruits des marteaux frappant l’elrine et le fer rendez l’endroit bruyant, et les fumés âcres rendez l’endroit si sale que personne ne songer plus à le nettoyer.
    Saluant les forgerons, il se rendit dans la dernière salle, la où la forge personnelle de Volubilis se trouvait.
    La chaleur était à la limite du supportable, des flammes bleues dansait dans le foyer, des flammes si chaude que le prince doutait qu’il puisse en produire de pareil avec sa magie.
    Volubilis était là, frappant l’elrine avec force, forgeant des armures avec une perfection presque digne des dieux. C’était bien le meilleur forgeron de tous les eldors.
    Une imposante caisse se trouvait a coté de lui.
    Voyant le prince arrivé Volubilis interrompit son travail et s’inclina devant ce dernier.
    - Mon prince, j’avais grande hâte que vous veniez me prêter main-forte.
    - Que puis je pour t’aider mon ami ?
    Volubilis lâcha un sourire et montra la caisse qui avait attiré l’attention de Calomel.
    - Je viens enfin de recevoir les derniers matériaux pour les armes que je compte faire. Une cargaison de pierre de diamants.
    Calomel ne pu s’empêcher d’écarquiller les yeux, la caisse faisait bien un mètre de haut, de large et de hauteur, une telle quantité de pierre de diamants, cela laissé admiratif, ce métal était d’une rareté presque irréelle.
    - Tant que ça ? ce métal n’est pourtant pas si commun, il est encore plus rare que le mitry et l’elrine.
    Volubilis lâcha un rire joyeux, sûrement content que le prince se porte si bien et que sa question soit si simple. Cela lui prouvait que ce dernier était maintenant présent a ce qu’il faisait.
    - Allons mon prince, les pierres de diamants doivent êtres bien conditionnés avant d’être envoyé, il y a juste assez de matériaux pour forger ces sabres.
    S’emparant d’une barre de fer et en envoyant une au prince, les deux eldors ouvrirent la caisse et trouvèrent une quantité d’emballage protégeant le métal extrêmement tendre sans traitement.
    Envoyant le bois dans les flammes qui le dévorait avec une faim presque gourmande, les deux ami purent enfin contempler le précieux métal. Des lingots de pierre de diamants attendaient au fonds de la caisse, deux lingots couleur ocre.
    - Vous voyez prince, juste de quoi façonner ces deux sabres.
    Prenant les deux lingots de ses mains, Volubilis les mit à fondre dans une cuve, les flammes bleues fondirent le métal sans hâte, rendant la couleur ocre si forte que le métal se mit a bouillonné.
    Deux moules de sabres attendaient dans une autre cuve protéger.
    Aidant Volubilis à soulever la cuve, Calomel dressa d’un mot de pouvoir un mur de brume pour le protéger de la chaleur.
    - Benren…
    Le métal en fusion s’écoula dans les formes des sabres, remplissant les moules jusqu'à leur limite.
    - Voilà, maintenant il faut refroidir.
    Hochant la tête en signe d’acquiescement, Calomel aidant Volubilis, plongea les moules dans un tonneau d’eau, de la vapeur s’éleva, le refroidissement brutal renforçant le métal, d’un mot a peine audible, Volubilis enchanta le métal pour le renforcé, lui donnant une dureté telle que plus rien mis a part un feu de pierre ne pourrait les déformé ou les abîmer.
    Cassant les deux moules d’un coup de marteau précis, Volubilis sortis les deux sabres, ils avaient presque la forme de lame, mais des bouts de métaux étaient encore accrochés a celle-ci.
    Les deux ami s’emparèrent chacun d’une pince et saisirent chacun une lame, frappant de leur marteau en rythme pour dégagé le surplus de métal.
    Replongeant les lames dans un autre feu moins fort, ils les portèrent aux rouges, pour en façonner la pointe et les courbes. Les marteaux heurtés les lames avec une précision inégalable, donnant naissance a des lames presque parfaites.
    Le travail harassant et l’utilisation du sortilège de protection mettez a mal les forces de Calomel, mais cette fatigue lui faisait du bien, une fatigue physique avec un esprit concentré lui permettait de soulager les blessures de son cœur encore récent.
    L’étoile Solaire pointée sur l’horizon quand ils eurent fini de réaliser le corps des lames, les deux sabres couleur ocre possédaient maintenant une pointe presque parfaite. Courbées a leurs bases, les deux lames forgées ensemble semblaient presque identiques.
    - Merci mon prince, ces deux lames sont une réussite, je n’ai plus rien à vous apprendre pour l’art de la forge, vous vous débrouillez admirablement bien.
    - Cesse ces éloges Volubilis, je suis peu être ton prince, mais dans l’art de la forge tu es mon maître. Mais je te remercie, j’ai pris plaisir a forgé en ta compagnie.
    - Le plaisir était pour moi Prince. Une fois que j’aurais fini de forger ces sabres, je les offrirais à la famille royale. Continua t’il en s’inclinant.
    - Ton présent nous honore Volubilis, je prendrais soin que ces sabres trouvent une place dans la salle d’armes des rois.
    - Vous ne pouvez me faire plus grand honore Prince. Je vais travailler toute la nuit pour parachever mon œuvre et vous livrez deux des meilleurs sabre qui n’est jamais existé, même chez les Eldors.
    Calomel lui répondit d’un sourire et s’en alla vers ses quartiers, cette journée de travail lui avait vraiment fait du bien, et malgré ses muscles tendus, au bords de l’épuisement, son esprit ne c’était jamais senti aussi bien… Mais il garda tout de même en tête que demain à l’aurore se tiendrait le conseil extraordinaire. Demain la question des humains serait débattue. Il espérait juste que sa sœur trouverait les mots pour défendre la cause de l’honneur des eldors et de la survie des humains.
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    Message  Sanaren Jeu 26 Fév 2009 - 20:27

    voila deja un petit extrait il en reste encore si ca vous plait je mettrais la suite en ligne, enfin si ca vous plait ^^
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    Message  Grundak Stormhammer Mar 15 Déc 2009 - 22:23

    ( HRP : Et beh, c'est que ça date tout cela. Je me demande bien comment diable il a pu être possible qu'il n'y ait pas eu jusqu'à présent de réponse. xS
    Puisque nul n'a pris la peine de le faire, je vais donc me lancer :
    Je ne cacherai pas que je n'ai pas eu le temps de lire en entier ton récit, je me suis contenté du premier texte faute de temps, mais cela m'a toutefois permis de me former un avis, qui j'espère, sera à la hauteur de tout le travail que tu as fournis. Very Happy
    Je bosse moi même depuis 6 ans (ce qui signifie donc que l'idée a germé dans ma tête lorsque je n'étais qu'un gnominus de 8 ans) sur un univers fantastique assez proche de celui de WoW et du tien, bien que le lore ne soit pas vraiment le même. Tu as une très bonne imagination et je t'encourage à continuer ton oeuvre si cela te plaît, j'ai toutefois quelques petits conseils à te donner si tu souhaites t'améliorer :
    Attention aux fautes d'orthographe, tu auras beau écrire de belles phrases lorsqu'il y en a, les fanatiques tels que moi trouveront toujours une raison de grommeler telle un vieux nain aigri. Les répétitions sont aussi un ennemi qu'il te faudra éviter ; essaie de trouver un synonyme pour chaque terme que tu voudras employer si tu veux éviter ce genre de problème. C'est un détail à ne pas prendre à la légère crois moi Wink .
    En ce qui concerne le style maintenant, je te conseille de passer un peu plus de temps sur ce que ressentent tes personnages, notamment sur la partie où le capitaine cherche la provenance du cri sous les décombres. On lit dans le texte qu'il ressent "un désespoir", mot sur lequel tu insistes d'ailleurs, mais la raison m'a semblé un peu floue ; pourquoi était-il désespéré ? Pensait-il qu'à tout instant le cri allait s'étouffer et que l'enfant allait mourir ? Je pense que tu vois où je veux en venir par là, du moins je l'espère (je pourrai toujours approfondir si le besoin s'en fait sentir.)
    Je suis conscient que ton style s'est développé bien entendu depuis les 10 mois qui se sont écoulés entre le jour où tu as posté et aujourd'hui, mais voilà j'ai préféré apporter mon humble contribution, en espérant avoir pu t'aider. Very Happy
    Seredaï dit le rolliste d'Archimonde la maudite et jeun's de 3°, qui pour une raison qu'il ignore a pris la fâcheuse habitude de signer et de faire des commentaires idiots de dernière ligne. )

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